POLITIQUE
Quatre vingt (80) femmes leaders des ONG et des organisations de la société civile participent à cette journée de réflexion organisée par le forum national des femmes de la région des Grands Lacs avec le concours du Bureau de l’Organisation des Nations Unies en Centrafrique (BONUCA) et dont l'objectif est de définir des actions à entreprendre en vue d’accroître la participation des femmes dans le processus électoral, notamment, aux postes électifs.
Il s'agira pour les participantes de discuter, entre autres, sur la problématique de la participation des femmes aux élections : les enjeux et stratégies, les campagnes de sensibilisation : pourquoi et comment ainqi que les campagnes de plaidoyer : contenu et stratégies.
« Cette journée de réflexion sur la participation des femmes centrafricaines au processus électoral constituera un point de départ pour le renforcement des capacités des femmes dans les différents domaines pour assoire un leadership féminin pour amener des femmes à briguer les postes de grandes décisions et des postes électifs », a déclaré la ministre de la Famille, Mme Sayo.
« Le but recherché est de libérer la femme centrafricaine des entraves que la société lui pose avant de pouvoir compter sur sa participation pleine et consciente au processus du développement durable », a-t-elle ajouté.
La ministre de la Famille, des Affaires Sociales et de la Solidarité Nationale a relevé que «l’inégalité de genre fait ressortir quelques problèmes cruciaux auxquels les femmes centrafricaines sont confrontées, à savoir, les pesanteurs socioculturelles, l’analphabétisme plus élevé chez les femmes (68 % contre 45 % chez les hommes), la pandémie du VIH/SIDA (7 % chez les femmes contre 4.3 % chez les hommes), la timide et insuffisante participation des femmes à tous les niveaux de décision et d'exécution dans les organes nationaux ».
« L’initiative de cette journée se situe dans la droite ligne des préoccupations en genre du Bonuca qui, dans le cadre du processus de consolidation de la paix en Centrafrique, œuvre pour une meilleure prise en compte de la femme au plan quantitatif et qualitatif conformément à la résolution 1325 du Conseil de sécurité des Nations Unies sur les femmes, la paix et la sécurité », a souligné la Représentante du Bonuca, Mme Work Zewdé.
« Cette résolution exhorte le gouvernement, les organisations de la société civile et tous les partenaires dans les zones de conflit et post-conflit à promouvoir entre autres, la participation des femmes dans la prise des décisions à tous les niveaux et dans tous les secteurs, y compris donc celui des élections », a-t-elle indiqué.
« En relation avec les prochaines élections, le Bonuca apporte depuis l’année dernière un appui technique et financier dans la limite de ses moyens aux actions visant à accroître la participation des femmes aux prises des décisions politiques et ce à travers le renforcement des capacités institutionnelles et individuelles d’une part ainsi que les campagnes de sensibilisation des femmes et de plaidoyer auprès des décideurs de l’autre » a-t-elle précisé.
On notait la présence du coordonnateur national de la Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL), l’Ambassadeur Honoré Nzessiwè, et de la présidente du forum national des femmes des Grands Lacs, Mme Marguerite Ramadan.
Il s'agira pour les participantes de discuter, entre autres, sur la problématique de la participation des femmes aux élections : les enjeux et stratégies, les campagnes de sensibilisation : pourquoi et comment ainqi que les campagnes de plaidoyer : contenu et stratégies.
« Cette journée de réflexion sur la participation des femmes centrafricaines au processus électoral constituera un point de départ pour le renforcement des capacités des femmes dans les différents domaines pour assoire un leadership féminin pour amener des femmes à briguer les postes de grandes décisions et des postes électifs », a déclaré la ministre de la Famille, Mme Sayo.
« Le but recherché est de libérer la femme centrafricaine des entraves que la société lui pose avant de pouvoir compter sur sa participation pleine et consciente au processus du développement durable », a-t-elle ajouté.
La ministre de la Famille, des Affaires Sociales et de la Solidarité Nationale a relevé que «l’inégalité de genre fait ressortir quelques problèmes cruciaux auxquels les femmes centrafricaines sont confrontées, à savoir, les pesanteurs socioculturelles, l’analphabétisme plus élevé chez les femmes (68 % contre 45 % chez les hommes), la pandémie du VIH/SIDA (7 % chez les femmes contre 4.3 % chez les hommes), la timide et insuffisante participation des femmes à tous les niveaux de décision et d'exécution dans les organes nationaux ».
« L’initiative de cette journée se situe dans la droite ligne des préoccupations en genre du Bonuca qui, dans le cadre du processus de consolidation de la paix en Centrafrique, œuvre pour une meilleure prise en compte de la femme au plan quantitatif et qualitatif conformément à la résolution 1325 du Conseil de sécurité des Nations Unies sur les femmes, la paix et la sécurité », a souligné la Représentante du Bonuca, Mme Work Zewdé.
« Cette résolution exhorte le gouvernement, les organisations de la société civile et tous les partenaires dans les zones de conflit et post-conflit à promouvoir entre autres, la participation des femmes dans la prise des décisions à tous les niveaux et dans tous les secteurs, y compris donc celui des élections », a-t-elle indiqué.
« En relation avec les prochaines élections, le Bonuca apporte depuis l’année dernière un appui technique et financier dans la limite de ses moyens aux actions visant à accroître la participation des femmes aux prises des décisions politiques et ce à travers le renforcement des capacités institutionnelles et individuelles d’une part ainsi que les campagnes de sensibilisation des femmes et de plaidoyer auprès des décideurs de l’autre » a-t-elle précisé.
On notait la présence du coordonnateur national de la Conférence Internationale sur la Région des Grands Lacs (CIRGL), l’Ambassadeur Honoré Nzessiwè, et de la présidente du forum national des femmes des Grands Lacs, Mme Marguerite Ramadan.
