POLITIQUE
L’objectif de cet atelier de 24 heures est d’outiller les femmes activistes sur les violences basées sur le genre, leur rôle et les moyens de lutte contre les violences basées sur le genre (VBG) en vue de sensibiliser la population sur la question relative à ces pratiques.
L’experte nationale en genre et action humanitaire Mme. Melvine-Julia Mago-Guéré a présenté les six types de violence à savoir le viol, l’agression sexuelle, le mariage forcé, le déni de ressources, le harcèlement et la violence morale ou psychologique.
Mme. Mago-Guéré a souligné que ces pratiques sont très dangereuses à l’égard des jeunes filles et femmes, mais aussi les jeunes garçons, tout en interpellant les autorités, la société civile et la population de mener une lutte contre ces pratiques.
Pour Bernice Ouango Ndackalla, présidente de WILPF Centrafrique, cette activité de formation va désormais permettre aux femmes activistes de pouvoir sensibiliser la population sur les mauvaises pratiques qui se font sur les jeunes filles et garçons dans la société.
Selon la présidente de WILPF Centrafrique, cette activité a réuni seulement les activistes de Bangui. Pour celles de l’arrière-pays, celles qui sont formées ici à Bangui, vont se déployer auprès de leurs sœurs dans l’arrière-pays pour la deuxième phase de formation.
Il faut rappeler que WILPF Centrafrique est une organisation qui a quatre programmes entre autres, le programme paix et sécurité, le programme désarmement, droit humain et le programme protection de l’environnement.
L’experte nationale en genre et action humanitaire Mme. Melvine-Julia Mago-Guéré a présenté les six types de violence à savoir le viol, l’agression sexuelle, le mariage forcé, le déni de ressources, le harcèlement et la violence morale ou psychologique.
Mme. Mago-Guéré a souligné que ces pratiques sont très dangereuses à l’égard des jeunes filles et femmes, mais aussi les jeunes garçons, tout en interpellant les autorités, la société civile et la population de mener une lutte contre ces pratiques.
Pour Bernice Ouango Ndackalla, présidente de WILPF Centrafrique, cette activité de formation va désormais permettre aux femmes activistes de pouvoir sensibiliser la population sur les mauvaises pratiques qui se font sur les jeunes filles et garçons dans la société.
Selon la présidente de WILPF Centrafrique, cette activité a réuni seulement les activistes de Bangui. Pour celles de l’arrière-pays, celles qui sont formées ici à Bangui, vont se déployer auprès de leurs sœurs dans l’arrière-pays pour la deuxième phase de formation.
Il faut rappeler que WILPF Centrafrique est une organisation qui a quatre programmes entre autres, le programme paix et sécurité, le programme désarmement, droit humain et le programme protection de l’environnement.
