Le directeur de la division des droits de l’homme, M. Musa Gassama a indiqué que le but de cette conférence de presse est de présenter les préoccupations de son institution et d’attirer l’attention des décideurs nationaux et internationaux impliqués dans ce processus de paix sur les violations graves des droits humains en Centrafrique.
« Il s’agit d’apporter un éclairage sur le comportement des personnes impliquées dans le processus de paix et qui font le contraire des engagements pris en présence de la communauté internationale », a-t-il précisé.
S’agissant du rapport proprement dit, Musa Gassama a rappelé que la situation sécuritaire dans la ville de Bria et ses environs dans la préfecture de Haute-Kotto a été caractérisée par des affrontements entre les anti-balaka et les factions des ex-séléka.au cours des mois d’août et septembre 2018.
Il a fait savoir que son rapport a aussi pour but d’interpeler les forces onusiennes sur les failles constatées dans leurs opérations de maintien de la paix.
Il convient de noter que dans ce rapport, des recommandations ont été formulées à l’endroit du gouvernement, des groupes armés et de la communauté internationale en vue de mettre un terme aux violations des droits internationaux humanitaires en République Centrafricaine.
« Il s’agit d’apporter un éclairage sur le comportement des personnes impliquées dans le processus de paix et qui font le contraire des engagements pris en présence de la communauté internationale », a-t-il précisé.
S’agissant du rapport proprement dit, Musa Gassama a rappelé que la situation sécuritaire dans la ville de Bria et ses environs dans la préfecture de Haute-Kotto a été caractérisée par des affrontements entre les anti-balaka et les factions des ex-séléka.au cours des mois d’août et septembre 2018.
Il a fait savoir que son rapport a aussi pour but d’interpeler les forces onusiennes sur les failles constatées dans leurs opérations de maintien de la paix.
Il convient de noter que dans ce rapport, des recommandations ont été formulées à l’endroit du gouvernement, des groupes armés et de la communauté internationale en vue de mettre un terme aux violations des droits internationaux humanitaires en République Centrafricaine.