POLITIQUE
Organisé à l’initiative de l’organisation des Nations-Unies pour l’éducation pour les urgences et la reconstruction, cet atelier visait à former durant cinq jours des hommes et femmes qui représentent l’interface de la société centrafricaine, capable de prévenir les conflits et de consolider la paix en Centrafrique.
« C’est l’occasion pour moi de vous informer qu’à partir de cet atelier, l’Unesco compte appuyer les organisations de la société civile de la République Centrafricaine à mettre en place un réseau national de prévention et de consolidation de la paix et un plan d’action pour renforcer les activités de prévention de conflits et de consolidation des acquis de Libreville », a déclaré M. Benoît Sossou, Directeur du bureau de Yaoundé, représentant de l’Unesco RCA, Cameroun et Tchad.
Selon M. Sossou, il s’agit d’une grande responsabilité qui nous incombe à nous tous, filles et fils d’Afrique « pour inverser les tendances lourdes qui pèsent sur l’Afrique ».
« En effet, nous ne le disons jamais assez, les statistiques sur la géographie des conflits et sur les personnes tuées lors des conflits sont plus importantes en Afrique », a –t-il ajouté.
S'exprimant au nom du Programme des Nations-Unies pour le Développement (Pnud), M. Maxime Mbringa Takama a affirmé que « ce sont les organisations de la société civile qui sont les fers de lance de la culture de la paix » et leur a demandé en conséquence de tout faire pour améliorer leurs performances.
le ministre Djibril Sall a affirmé quant à lui que « le rétablissement de la sécurité sur toute l’étendue du territoire national demeure un défi majeur à plus d’un titre et les transformations sociales majeures de la RCA que réclame le peuple ».
« C’est la sécurité qui constitue le gage d’un retour défintif des investisseurs ; c’est encore elle qui conditionnera la réussite du processus électoral », a-t-il poursuivi, avant d'appeler tous les Centrafricains à "contribuer pour le retour de la paix durable ».
« C’est l’occasion pour moi de vous informer qu’à partir de cet atelier, l’Unesco compte appuyer les organisations de la société civile de la République Centrafricaine à mettre en place un réseau national de prévention et de consolidation de la paix et un plan d’action pour renforcer les activités de prévention de conflits et de consolidation des acquis de Libreville », a déclaré M. Benoît Sossou, Directeur du bureau de Yaoundé, représentant de l’Unesco RCA, Cameroun et Tchad.
Selon M. Sossou, il s’agit d’une grande responsabilité qui nous incombe à nous tous, filles et fils d’Afrique « pour inverser les tendances lourdes qui pèsent sur l’Afrique ».
« En effet, nous ne le disons jamais assez, les statistiques sur la géographie des conflits et sur les personnes tuées lors des conflits sont plus importantes en Afrique », a –t-il ajouté.
S'exprimant au nom du Programme des Nations-Unies pour le Développement (Pnud), M. Maxime Mbringa Takama a affirmé que « ce sont les organisations de la société civile qui sont les fers de lance de la culture de la paix » et leur a demandé en conséquence de tout faire pour améliorer leurs performances.
le ministre Djibril Sall a affirmé quant à lui que « le rétablissement de la sécurité sur toute l’étendue du territoire national demeure un défi majeur à plus d’un titre et les transformations sociales majeures de la RCA que réclame le peuple ».
« C’est la sécurité qui constitue le gage d’un retour défintif des investisseurs ; c’est encore elle qui conditionnera la réussite du processus électoral », a-t-il poursuivi, avant d'appeler tous les Centrafricains à "contribuer pour le retour de la paix durable ».
