POLITIQUE
A l’issue de leurs travaux, les participants ont adopté une série de recommandations préconisant notamment le renforcement des capacités des organisations de la société civile pour une meilleure représentativité.
Il s’agit également de l’implication effective de la société civile dans le processus de prévention, de gestion et de résolution des conflits en Centrafrique, du respect scrupuleux de tous les instruments juridiques relatifs aux droits de l’Homme auxquels la Centrafrique a souscrits, de la conquête du pouvoir par la seule voie du suffrage universel et de la restauration de l’autorité des chefs coutumiers et traditionnels dans le processus de prévention, de gestion et de résolution des conflits.
Mme Aline Gisèle Pana, membre de l’Association des Femmes Juristes de Centrafrique (AFJC) a souligné que la tenue de « cet atelier est d’une importance capitale en faveur des différentes crises socioéconomiques qui se déroulent dans ce pays, que la société civile puisse réunir tous les acteurs pour le renforcement de leurs capacités dans ce domaine de règlement des conflits et de consolidation de la paix » et mettre à leur disposition toutes « les informations nécessaires en ce qui concerne leur rôle en tant que société civile en faveur des règlements des conflits et de consolidation de la paix ».
« La société civile ne doit pas laisser le gouvernement seul, mais qu’on puisse réunir nos efforts et soutenir aussi les efforts du gouvernement en faveur du règlement des conflits et de la consolidation de la paix dans notre pays » a-t-elle conclu.
M. Lakoué a quant à lui exhorté PREGESCO-RCA à poursuivre cet exercice de renforcement des capacités de ses membres, mais surtout à l’étendre sur toute l’étendue de la République Centrafricaine et principalement dans les zones affectées par l’insécurité due aux différents mouvements politico-militaires.
Il faut rappeler que cet atelier qui a mobilisé une cinquantaine de représentants des organisations de la société civile, était organisé par le PREGESCO-RCA avec le concours financier du Bureau de l’Organisation des Nations Unies en Centrafrique (BONUCA).
Il s’agit également de l’implication effective de la société civile dans le processus de prévention, de gestion et de résolution des conflits en Centrafrique, du respect scrupuleux de tous les instruments juridiques relatifs aux droits de l’Homme auxquels la Centrafrique a souscrits, de la conquête du pouvoir par la seule voie du suffrage universel et de la restauration de l’autorité des chefs coutumiers et traditionnels dans le processus de prévention, de gestion et de résolution des conflits.
Mme Aline Gisèle Pana, membre de l’Association des Femmes Juristes de Centrafrique (AFJC) a souligné que la tenue de « cet atelier est d’une importance capitale en faveur des différentes crises socioéconomiques qui se déroulent dans ce pays, que la société civile puisse réunir tous les acteurs pour le renforcement de leurs capacités dans ce domaine de règlement des conflits et de consolidation de la paix » et mettre à leur disposition toutes « les informations nécessaires en ce qui concerne leur rôle en tant que société civile en faveur des règlements des conflits et de consolidation de la paix ».
« La société civile ne doit pas laisser le gouvernement seul, mais qu’on puisse réunir nos efforts et soutenir aussi les efforts du gouvernement en faveur du règlement des conflits et de la consolidation de la paix dans notre pays » a-t-elle conclu.
M. Lakoué a quant à lui exhorté PREGESCO-RCA à poursuivre cet exercice de renforcement des capacités de ses membres, mais surtout à l’étendre sur toute l’étendue de la République Centrafricaine et principalement dans les zones affectées par l’insécurité due aux différents mouvements politico-militaires.
Il faut rappeler que cet atelier qui a mobilisé une cinquantaine de représentants des organisations de la société civile, était organisé par le PREGESCO-RCA avec le concours financier du Bureau de l’Organisation des Nations Unies en Centrafrique (BONUCA).
