Les Conseillers ont saisi cette opportunité pour recommander au gouvernement la redynamisation de l’autorité de l’Etat en vue de favoriser la cohésion sociale, la vulgarisation d’un code de bonne conduite au niveau scolaire et universitaire, au niveau des institutions de l’administration afin que les Centrafricains soient de vraies sources d’inspiration pour les futurs leaders, la stricte application des textes réglementaires permettant le bon fonctionnement des structures hospitalières.
"Le respect des critères de recrutement des points focaux nationaux, particulièrement par voie de test et parmi les fonctionnaires des départements, le respect de tous les principes directeurs de la feuille de route pour la paix et la réconciliation nationale en République Centrafricaine et la révision à la hausse du SMIG et du SMAG en vue d’améliorer les conditions de travail et de vie des travailleurs", ont-ils ajouté.
Le président du Conseil économique et social a exhorté la communauté nationale et surtout les forces vives ainsi que la communauté internationale à se mobiliser pour accompagner l’initiative africaine en faveur de la paix en Centrafrique.
"La sécurité demeure donc la priorité absolue de notre pays, elle est non seulement la préoccupation du gouvernement, mais de l’ensemble de la communauté nationale et des partenaires au développement car c’est de la sécurité que dépend le relèvement socioéconomique de notre pays", a souligné Alfred Taïnga Poloko.
Le Conseil économique et social, conformément à son ambition principale qui consiste à penser la Centrafrique du futur, ne cessera de rappeler ces urgences à la fois au gouvernement ainsi qu’à l’ensemble de la communauté nationale, a-t-il expliqué.
Le président de cette institution a par ailleurs annoncé l’organisation à partir de janvier 2019, hors période de session, des rencontres thématiques en vue d’explorer à la fois les perspectives d’une paix durable en Centrafrique, mais également d’identifier les pistes de solution au développement économique et social de la République Centrafricaine.
Il convient de rappeler que cette session, qui a démarré ses travaux depuis le 1er août dernier, a permis aux Conseillers d’échanger sur différentes thématiques, à savoir l’acquittement de Jean-Pierre Bemba, la Journée mondiale de l’alimentation 2018 à Bambari, le développement du sport en Centrafrique, les opportunités de financement des secteurs sociaux de base, les chefferies traditionnelles, les qualités et comportements du leader dans la société, la prise en charge des malades dans les structures sanitaires, le Plan de relèvement (RCPCA), les perspectives d’une paix durable en République Centrafricaine et le salaire minimum garanti (SMIG).
Il est à noter que quelques heures avant la clôture de la 2ème session ordinaire 2018, les membres du Conseil économique et Social ont rendu un dernier hommage à leur collègue Noël Komokoïna, Conseiller de l'Ouham, décédé à l'âge de 70 ans. l
"Le respect des critères de recrutement des points focaux nationaux, particulièrement par voie de test et parmi les fonctionnaires des départements, le respect de tous les principes directeurs de la feuille de route pour la paix et la réconciliation nationale en République Centrafricaine et la révision à la hausse du SMIG et du SMAG en vue d’améliorer les conditions de travail et de vie des travailleurs", ont-ils ajouté.
Le président du Conseil économique et social a exhorté la communauté nationale et surtout les forces vives ainsi que la communauté internationale à se mobiliser pour accompagner l’initiative africaine en faveur de la paix en Centrafrique.
"La sécurité demeure donc la priorité absolue de notre pays, elle est non seulement la préoccupation du gouvernement, mais de l’ensemble de la communauté nationale et des partenaires au développement car c’est de la sécurité que dépend le relèvement socioéconomique de notre pays", a souligné Alfred Taïnga Poloko.
Le Conseil économique et social, conformément à son ambition principale qui consiste à penser la Centrafrique du futur, ne cessera de rappeler ces urgences à la fois au gouvernement ainsi qu’à l’ensemble de la communauté nationale, a-t-il expliqué.
Le président de cette institution a par ailleurs annoncé l’organisation à partir de janvier 2019, hors période de session, des rencontres thématiques en vue d’explorer à la fois les perspectives d’une paix durable en Centrafrique, mais également d’identifier les pistes de solution au développement économique et social de la République Centrafricaine.
Il convient de rappeler que cette session, qui a démarré ses travaux depuis le 1er août dernier, a permis aux Conseillers d’échanger sur différentes thématiques, à savoir l’acquittement de Jean-Pierre Bemba, la Journée mondiale de l’alimentation 2018 à Bambari, le développement du sport en Centrafrique, les opportunités de financement des secteurs sociaux de base, les chefferies traditionnelles, les qualités et comportements du leader dans la société, la prise en charge des malades dans les structures sanitaires, le Plan de relèvement (RCPCA), les perspectives d’une paix durable en République Centrafricaine et le salaire minimum garanti (SMIG).
Il est à noter que quelques heures avant la clôture de la 2ème session ordinaire 2018, les membres du Conseil économique et Social ont rendu un dernier hommage à leur collègue Noël Komokoïna, Conseiller de l'Ouham, décédé à l'âge de 70 ans. l