L’objectif de cette journée mondiale de lutte contre le paludisme, dont le thème de réflexion cette année est « Mettre fin une fois pour toute au paludisme », est d’interpeller les différents acteurs afin qu’ils accélèrent et maintiennent les efforts visant à vaincre la pathologie.
Dr Michel Yaho constate aussi avec regret que l’organisation de la riposte et la prévention ne sont pas optimales en République Centrafricaine. Il s’est appesanti sur le fait que sur 7 régions sanitaires, seulement 4 ont bénéficié de la distribution de moustiquaires imprégnées d’insecticide. L’insécurité a été citée comme la raison qui n’a pas permis d’accéder aux autres régions.
Le Représentant de l’OMS a indiqué que « la prise en charge des traitements du paludisme simple ou grave en Centrafrique dans les formations sanitaires est assurée par le Fonds Mondiale de Lutte contre le Paludisme, la tuberculose et le VIH/sida.
Les autres intervenants dans cette lutte, selon lui, sont : l’OMS, la Banque mondiale et bien d’autres humanitaires qui fournissent des soins aux populations affectées par la crise.
Il a relevé qu’il existe des stratégies de prise en charge des cas de paludisme à domicile. Seulement, a-t-il précisé, la République Centrafricaine n’est pas encore arrivée à ce stade d’opportunité.
Au-delà de tout, Michel Yaho a réitéré l’engagement de l’Organisation Mondiale de la Santé ainsi que d’autres partenaires à se mobiliser pour soutenir la République Centrafricaine dans la lutte visant l’élimination du paludisme.
Dr Michel Yaho constate aussi avec regret que l’organisation de la riposte et la prévention ne sont pas optimales en République Centrafricaine. Il s’est appesanti sur le fait que sur 7 régions sanitaires, seulement 4 ont bénéficié de la distribution de moustiquaires imprégnées d’insecticide. L’insécurité a été citée comme la raison qui n’a pas permis d’accéder aux autres régions.
Le Représentant de l’OMS a indiqué que « la prise en charge des traitements du paludisme simple ou grave en Centrafrique dans les formations sanitaires est assurée par le Fonds Mondiale de Lutte contre le Paludisme, la tuberculose et le VIH/sida.
Les autres intervenants dans cette lutte, selon lui, sont : l’OMS, la Banque mondiale et bien d’autres humanitaires qui fournissent des soins aux populations affectées par la crise.
Il a relevé qu’il existe des stratégies de prise en charge des cas de paludisme à domicile. Seulement, a-t-il précisé, la République Centrafricaine n’est pas encore arrivée à ce stade d’opportunité.
Au-delà de tout, Michel Yaho a réitéré l’engagement de l’Organisation Mondiale de la Santé ainsi que d’autres partenaires à se mobiliser pour soutenir la République Centrafricaine dans la lutte visant l’élimination du paludisme.