Ce don a pour objectif d’accroître la capacité de la mobilité des contingents de la MISCA dans le cadre du mandat qui leur est assigné en République Centrafricaine, à savoir : entre autres, rétablir l’autorité de l’Etat et contribuer à la pacification du pays.
Tout en exprimant sa gratitude tant à l’endroit des autorités françaises qu’à l’endroit du général Francisco Soriano, par qui ce don a été transféré, le Général Tumeta Chomu a reconnu « qu’en plus de son concours à la mobilité de la force de la MISCA, la France participe à travers l’entretien des véhicules ; elle contribue au fonctionnement de la mission par le truchement des fonds allouées par l’Union Européenne ; enfin, la France accompagne les opérations de la MISCA conformément à la résolution 2127 du Conseil de sécurité des Nations Unies ».
Le commandant de la MISCA a rassuré qu’il ne faut pas s’en tenir aux engins qui sont « exposés pour la circonstance en ce sens que la France est présente de bout en bout dans la mise en œuvre du mandat de la MISCA en République Centrafricaine. Il a émis le vœu que ce don ne soit pas le dernier ».
Quant au Lieutenant-colonel Jean-Marc Dubost, la France a ainsi agi suivant l’une des missions de la Sangaris qui vise à « appuyer la MISCA ». En conséquence, il a promis que la jeep P4 annoncée mais qui a été détruite sera rapidement remplacée lors d’un prochain fret en provenance de France ».
Avec la crise qu’a connue la République Centrafricaine, la communauté internationale à travers l’Union africaine et la France a convenu de déployer en Centrafrique des contingents africains dans le cadre d’une opération militaire de paix. La MISCA est composée de 6.000 hommes. Ils sont appuyés par l’opération militaire française baptisée « Sangaris », elle, constituée de 2.000 hommes.
Les interventions conjointes de la MISCA et de la Sangaris en Centrafrique ont favorisé ont favorisé à Bangui notamment le rétablissement de la sécurité et le retour de la paix. Cette situation se mesure par le retour massif des déplacés internes dans leurs foyers respectifs et également la reprise des activités administratives et socioéconomiques.
Il y a lieu de noter que la MISCA participe par ailleurs à l’escorte des convois. Ce qui a permis l’entière sécurisation de la route principale Bangui-Garoua Boulaï, seule débouchée sur la mer. Cette initiative a eu comme conséquence l’approvisionnement du pays en marchandises provenant du port de Douala au Cameroun et autres articles intervenant directement dans les activités humanitaires ou militaires.
Tout en exprimant sa gratitude tant à l’endroit des autorités françaises qu’à l’endroit du général Francisco Soriano, par qui ce don a été transféré, le Général Tumeta Chomu a reconnu « qu’en plus de son concours à la mobilité de la force de la MISCA, la France participe à travers l’entretien des véhicules ; elle contribue au fonctionnement de la mission par le truchement des fonds allouées par l’Union Européenne ; enfin, la France accompagne les opérations de la MISCA conformément à la résolution 2127 du Conseil de sécurité des Nations Unies ».
Le commandant de la MISCA a rassuré qu’il ne faut pas s’en tenir aux engins qui sont « exposés pour la circonstance en ce sens que la France est présente de bout en bout dans la mise en œuvre du mandat de la MISCA en République Centrafricaine. Il a émis le vœu que ce don ne soit pas le dernier ».
Quant au Lieutenant-colonel Jean-Marc Dubost, la France a ainsi agi suivant l’une des missions de la Sangaris qui vise à « appuyer la MISCA ». En conséquence, il a promis que la jeep P4 annoncée mais qui a été détruite sera rapidement remplacée lors d’un prochain fret en provenance de France ».
Avec la crise qu’a connue la République Centrafricaine, la communauté internationale à travers l’Union africaine et la France a convenu de déployer en Centrafrique des contingents africains dans le cadre d’une opération militaire de paix. La MISCA est composée de 6.000 hommes. Ils sont appuyés par l’opération militaire française baptisée « Sangaris », elle, constituée de 2.000 hommes.
Les interventions conjointes de la MISCA et de la Sangaris en Centrafrique ont favorisé ont favorisé à Bangui notamment le rétablissement de la sécurité et le retour de la paix. Cette situation se mesure par le retour massif des déplacés internes dans leurs foyers respectifs et également la reprise des activités administratives et socioéconomiques.
Il y a lieu de noter que la MISCA participe par ailleurs à l’escorte des convois. Ce qui a permis l’entière sécurisation de la route principale Bangui-Garoua Boulaï, seule débouchée sur la mer. Cette initiative a eu comme conséquence l’approvisionnement du pays en marchandises provenant du port de Douala au Cameroun et autres articles intervenant directement dans les activités humanitaires ou militaires.