L’objectif de cet atelier, organisé du vendredi 27 au samedi 28 septembre 2013, vise essentiellement à procéder à un diagnostic des différents secteurs, à identifier les besoins, les priorités et les coûts des actions à mener qui sont compilées dans une matrice afin de permettre au pays de se relever.
En effet, depuis le changement intervenu le 24 mars 2013, l’administration publique ou judiciaire a cessé d’exister dans l’arrière-pays. La situation économique est catastrophique. Les caisses de l’Etat sont vides. Le secteur financier est sinistré. Les banques sont dans des situations difficiles.
A compter du 12 août dernier, des ateliers s’étaient succédé en vue de l’élaboration du programme d’urgence du gouvernement de la Transition qui n’est rien d’autre que le bras opérationnel de la feuille de route du gouvernement.
Au finish, « le programme d’urgence avec tous les points qui y sont contenus constitueront un outil de plaidoyer entre la République Centrafricaine et les partenaires au développement, dont les agences du système des Nations Unies, censés être prompts à accompagner le pays vers la porte de sortie de crise par le financement des activités en direction des populations sinistrés », a renchéri M. Dokoula.
Le coordonateur du programme d’urgence a fait savoir que « les priorités majeures à l’heure actuelle comprennent la sécurité, la paix et la justice ainsi que les questions humanitaires », allusion faite aux citoyens centrafricains qui constituent à l’heure actuelle des déplacés internes et des réfugiés, aux écoles et hôpitaux qui peinent à fonctionner, faute de personnel, de moyens didactiques et de médicaments.
Il ne faut pas perdre de vue que la transition devrait aboutir à l’organisation des élections pour un retour à l’ordre constitutionnelle. Raison pour laquelle, le programme d’urgence du gouvernement devrait être participatif, avec la contribution des experts de tous les secteurs, dont entre autres, l’élevage, les transports, les finances, les affaires sociales, le secteur privé, etc.
Il ne reste que trois principales étapes avant la publication officielle du document du programme d’urgence du gouvernement de la Transition. Il s’agit d’un séminaire national de validation qui devra regrouper tous les acteurs nationaux, puis un séminaire gouvernemental, pour que les membres du gouvernement s’imprègnent du document et au besoin le toiletter, enfin, ce programme devrait être soumis à l’examen des Conseillers nationaux de Transition, le parlement de la Transition.
En effet, depuis le changement intervenu le 24 mars 2013, l’administration publique ou judiciaire a cessé d’exister dans l’arrière-pays. La situation économique est catastrophique. Les caisses de l’Etat sont vides. Le secteur financier est sinistré. Les banques sont dans des situations difficiles.
A compter du 12 août dernier, des ateliers s’étaient succédé en vue de l’élaboration du programme d’urgence du gouvernement de la Transition qui n’est rien d’autre que le bras opérationnel de la feuille de route du gouvernement.
Au finish, « le programme d’urgence avec tous les points qui y sont contenus constitueront un outil de plaidoyer entre la République Centrafricaine et les partenaires au développement, dont les agences du système des Nations Unies, censés être prompts à accompagner le pays vers la porte de sortie de crise par le financement des activités en direction des populations sinistrés », a renchéri M. Dokoula.
Le coordonateur du programme d’urgence a fait savoir que « les priorités majeures à l’heure actuelle comprennent la sécurité, la paix et la justice ainsi que les questions humanitaires », allusion faite aux citoyens centrafricains qui constituent à l’heure actuelle des déplacés internes et des réfugiés, aux écoles et hôpitaux qui peinent à fonctionner, faute de personnel, de moyens didactiques et de médicaments.
Il ne faut pas perdre de vue que la transition devrait aboutir à l’organisation des élections pour un retour à l’ordre constitutionnelle. Raison pour laquelle, le programme d’urgence du gouvernement devrait être participatif, avec la contribution des experts de tous les secteurs, dont entre autres, l’élevage, les transports, les finances, les affaires sociales, le secteur privé, etc.
Il ne reste que trois principales étapes avant la publication officielle du document du programme d’urgence du gouvernement de la Transition. Il s’agit d’un séminaire national de validation qui devra regrouper tous les acteurs nationaux, puis un séminaire gouvernemental, pour que les membres du gouvernement s’imprègnent du document et au besoin le toiletter, enfin, ce programme devrait être soumis à l’examen des Conseillers nationaux de Transition, le parlement de la Transition.