Ces s'assises s'inscrivent dans le cadre de la stratégie nationale de lutte contre la corruption dont le document a été élaboré par le comité, a indiqué M. Singha Bengba, qui a précisé que « le comité vient de donner au Premier ministre son premier rapport pour présenter ce qu'il a eu à effectuer durant cette première année d’existence ».
« Ce document a été envoyé à tous les partenaires au développement pour avoir leur avis. Après quoi nous allons faire des assises dans les régions et discuter avec les Centrafricains de l’arrière-pays pour avoir leur avis et la perception qu’ils ont de la corruption ». a-t-il souligné.
« Nous avons également travaillé sur les problèmes de déclaration des patrimoines de nos dignitaires car c’était un déclencheur par rapport au point d’achèvement que nous avons atteint », a fait savoir M. Singha Bengba, ajoutant que « la presse a un rôle important à jouer dans la lutte contre la corruption".
Confronté à un grave problème de corruption qui prive l'Etat d'une part importante de ses ressources provenant pour l'essentiel des recettes fiscalo-douanières, le gouvernement centrafricain a mis en place, le 30 juillet 2008, un comité national de lutte contre la corruption pour tenter d'éradiquer ce phénomène qui affecte tous les secteurs d'activité.
Inspiré par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), ce comité composé de 14 membres est chargé "d’élaborer et de mettre en œuvre la stratégie nationale de lutte contre la corruption et d’assurer sa diffusion auprès des acteurs publics et privés, coordonner et aider à la formulation des différentes actions pour la transparence et la bonne gouvernance".
« Ce document a été envoyé à tous les partenaires au développement pour avoir leur avis. Après quoi nous allons faire des assises dans les régions et discuter avec les Centrafricains de l’arrière-pays pour avoir leur avis et la perception qu’ils ont de la corruption ». a-t-il souligné.
« Nous avons également travaillé sur les problèmes de déclaration des patrimoines de nos dignitaires car c’était un déclencheur par rapport au point d’achèvement que nous avons atteint », a fait savoir M. Singha Bengba, ajoutant que « la presse a un rôle important à jouer dans la lutte contre la corruption".
Confronté à un grave problème de corruption qui prive l'Etat d'une part importante de ses ressources provenant pour l'essentiel des recettes fiscalo-douanières, le gouvernement centrafricain a mis en place, le 30 juillet 2008, un comité national de lutte contre la corruption pour tenter d'éradiquer ce phénomène qui affecte tous les secteurs d'activité.
Inspiré par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), ce comité composé de 14 membres est chargé "d’élaborer et de mettre en œuvre la stratégie nationale de lutte contre la corruption et d’assurer sa diffusion auprès des acteurs publics et privés, coordonner et aider à la formulation des différentes actions pour la transparence et la bonne gouvernance".