POLITIQUE
Dans son compte rendu, El Hadj Abacar Dieudonné Nyakanda a fait remarquer que les rencontres et séances de travail effectuées au cours de la mission de Genève ont permis de faire un plaidoyer en faveur de la République Centrafricaine qui est dans une situation post-conflit et qui devrait mériter une attention particulière de la communauté internationale.
Le Haut Commissaire au Droits de l’homme a ensuite expliqué que le dépôt du rapport des la situation des droits de l’Homme en Centrafrique a suscité davantage l’intérêt des Nations Unies à soutenir les institutions et autres structures centrafricaines en charge des droits de l’Homme, en vue de la consolidation de l’État de droit.
Il convient de préciser que ce rapport national sur la question des droits de l’Homme a été remis à Mme Navathèm Pillay, Haut Commissaire aux droits de l’Homme des Nations Unies à Genève pour être présenté et examiné par l’EPU du 4 au 15 mai prochain.
Précisons également que l’Examen périodique universel (EPU) est un nouveau mécanisme d’examen des rapports-pays sur la situation de tous les droits de l’Homme, au regard des instruments internationaux relatifs aux droits de l’Homme, institué par le Conseil des droits de l’homme qui remplace l’ancienne commission des droits de l’Homme des Nations Unies en 2006.
Selon El Hadj Abacar Dieudonné Nyakanda, ce rapport a été rédigé pour respecter les engagements de la République Centrafricaine vis-à-vis de la communauté internationale et le calendrier établi par le groupe de travail sur l’EPU du conseil des droits de l’Homme de l’ONU.
La rédaction de ce document a été appuyée par la mission permanente de la République Centrafricaine auprès de l’Office des Nations Unies et d’autres Organisations internationales à Génève (ONUG).
Signalons qu’en marge de cette réunion, des rencontres et séances de travail ont eu lieu entre la délégation centrafricaine et quelques institutions internationales accréditées à Genève pour discuter des possibles soutiens à la République Centrafricaine dans le domaine des droits humains.
Le Haut Commissaire au Droits de l’homme a ensuite expliqué que le dépôt du rapport des la situation des droits de l’Homme en Centrafrique a suscité davantage l’intérêt des Nations Unies à soutenir les institutions et autres structures centrafricaines en charge des droits de l’Homme, en vue de la consolidation de l’État de droit.
Il convient de préciser que ce rapport national sur la question des droits de l’Homme a été remis à Mme Navathèm Pillay, Haut Commissaire aux droits de l’Homme des Nations Unies à Genève pour être présenté et examiné par l’EPU du 4 au 15 mai prochain.
Précisons également que l’Examen périodique universel (EPU) est un nouveau mécanisme d’examen des rapports-pays sur la situation de tous les droits de l’Homme, au regard des instruments internationaux relatifs aux droits de l’Homme, institué par le Conseil des droits de l’homme qui remplace l’ancienne commission des droits de l’Homme des Nations Unies en 2006.
Selon El Hadj Abacar Dieudonné Nyakanda, ce rapport a été rédigé pour respecter les engagements de la République Centrafricaine vis-à-vis de la communauté internationale et le calendrier établi par le groupe de travail sur l’EPU du conseil des droits de l’Homme de l’ONU.
La rédaction de ce document a été appuyée par la mission permanente de la République Centrafricaine auprès de l’Office des Nations Unies et d’autres Organisations internationales à Génève (ONUG).
Signalons qu’en marge de cette réunion, des rencontres et séances de travail ont eu lieu entre la délégation centrafricaine et quelques institutions internationales accréditées à Genève pour discuter des possibles soutiens à la République Centrafricaine dans le domaine des droits humains.
