POLITIQUE
Bien que le bilan dressé soit globalement positif, il n'en demeure pas moins que, le projet a rencontré beaucoup de difficultés dans son fonctionnement, notamment à cause des faibles fréquentations qui ne permettent pas d'engranger les ressources financières nécessaires pour faire face aux charges d'exploitation.
Cette situation a conduit Mme Zopani se demander si les cybercentres parviendront à s'autogérer après la fin du projet ADEN, en attendant que les recherches entreprises actuellement par le ministère Français des Affaires Etrangères, initiateur du projet, permettent de trouver d’autres partenaires susceptibles de prendre le relais.
Pour leur part, les gestionnaires et les administrateurs des centres ADEN de Bouar, Bambari, Bangassou, Berberati, Bassangoa et Mbaiki ont, à tour de rôle, ont justifié la faible fréquentation de ceux-ci par le fait que leurs principales cibles, à savoir les lycéen, sont dépourvus de moyens financiers.
Lancées en avril 2005 avec l'ouverture du cybercentre Wambangana de M'baïki, les activités du projet ADEN ont pour objectif de contribuer à démystifier l’informatique et l’Internet, permettre aux lycéens de Centrafrique d’utiliser les lycées virtuels via un partenariat avec l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) et aux journalistes d’envoyer leurs informations locales enregistrés en MP3 à l’ensemble des stations du réseau.
Offrant la connexion Internet aux élèves et étudiants (500 FCFA/heure), aux fonctionnaires (750 F CFA/h) et aux opérateurs économiques (1 000 F CFA/), les cybercentres du projet ADEN comptaient générer suffisamment de ressources pour s'autofinancer après 5 années d'activité.
Cette situation a conduit Mme Zopani se demander si les cybercentres parviendront à s'autogérer après la fin du projet ADEN, en attendant que les recherches entreprises actuellement par le ministère Français des Affaires Etrangères, initiateur du projet, permettent de trouver d’autres partenaires susceptibles de prendre le relais.
Pour leur part, les gestionnaires et les administrateurs des centres ADEN de Bouar, Bambari, Bangassou, Berberati, Bassangoa et Mbaiki ont, à tour de rôle, ont justifié la faible fréquentation de ceux-ci par le fait que leurs principales cibles, à savoir les lycéen, sont dépourvus de moyens financiers.
Lancées en avril 2005 avec l'ouverture du cybercentre Wambangana de M'baïki, les activités du projet ADEN ont pour objectif de contribuer à démystifier l’informatique et l’Internet, permettre aux lycéens de Centrafrique d’utiliser les lycées virtuels via un partenariat avec l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) et aux journalistes d’envoyer leurs informations locales enregistrés en MP3 à l’ensemble des stations du réseau.
Offrant la connexion Internet aux élèves et étudiants (500 FCFA/heure), aux fonctionnaires (750 F CFA/h) et aux opérateurs économiques (1 000 F CFA/), les cybercentres du projet ADEN comptaient générer suffisamment de ressources pour s'autofinancer après 5 années d'activité.
