« La femme, est d’abord porteuse de vie et éducatrice de la société, donc elle a un rôle important à jouer, mais il faudrait qu’elle sache ce qu’elle doit faire », a expliqué M. Mbaga.
« Nous sommes dans une société où les croyances et les coutumes sont encore vivaces, et par rapport à ces croyances et ces coutumes, la femme est généralement reléguée au second plan, or, la situation de notre pays aujourd’hui nécessite la participation pleine et équitable de ses fils et de toutes ses filles », a-t-il également affirmé.
A cet effet, il a demandé à toutes les représentantes des ONG et associations de participer activement à ces débats pour pouvoir faire le relais auprès des femmes de Centrafrique afin de les aider à mieux percevoir leur place dans le processus de développement.
« L’heure n’est plus au discours, mais au travail », a souligné, de son côté, la présidente de l’OFAD Mme Albertine Dounia.
« Nous allons toutes poser une série de questions, notamment, pourquoi notre pays à l’instar des autres pays, ne progresse pas ? Pour quoi tant de conflits de nos jours ? Devant ce triste constat, quel est le rôle de la femme centrafricaine ? », a-t-elle ajouté.
Il convient de signaler que cette journée de réflexion a mobilisé une cinquantaine de leaders des ONG et des associations féminines pour réfléchir sur les maux qui gangrènent la République Centrafricaine.
« Nous sommes dans une société où les croyances et les coutumes sont encore vivaces, et par rapport à ces croyances et ces coutumes, la femme est généralement reléguée au second plan, or, la situation de notre pays aujourd’hui nécessite la participation pleine et équitable de ses fils et de toutes ses filles », a-t-il également affirmé.
A cet effet, il a demandé à toutes les représentantes des ONG et associations de participer activement à ces débats pour pouvoir faire le relais auprès des femmes de Centrafrique afin de les aider à mieux percevoir leur place dans le processus de développement.
« L’heure n’est plus au discours, mais au travail », a souligné, de son côté, la présidente de l’OFAD Mme Albertine Dounia.
« Nous allons toutes poser une série de questions, notamment, pourquoi notre pays à l’instar des autres pays, ne progresse pas ? Pour quoi tant de conflits de nos jours ? Devant ce triste constat, quel est le rôle de la femme centrafricaine ? », a-t-elle ajouté.
Il convient de signaler que cette journée de réflexion a mobilisé une cinquantaine de leaders des ONG et des associations féminines pour réfléchir sur les maux qui gangrènent la République Centrafricaine.