POLITIQUE
photo de famille du Premier ministre Touadéra avec une partie des séminaristes (photo Acap/Ngbanga)
Après une semaine de travail, destiné à faire le bilan de la mise en œuvre des conclusions opérationnelles issues du séminaire d’avril 2008, les groupes thématiques et les experts évaluateurs du PNUD et de l’Union Européenne sont parvenus à la conclusion que « dans l’ensemble, le travail technique a bien fonctionné ».
Ils ont cependant regretté que ce travail n’ait pas encore été porté et valorisé au niveau politique, ce qui a retardé la finalisation de plusieurs activités et handicapé la communication au niveau de la population.
Ils ont en conséquence formulé une dizaine de recommandations visant à activer le comité sectoriel (RSS), assurer le lien technique/politique par la participation du ministre de tutelle à une réunion du groupe thématique par mois ainsi qu’à mettre en place une structure de coordination interministérielle des forces de défense et de sécurité.
Les séminaristes ont également préconisé l’actualisation du chronogramme des activités, l’inscription de l’ensemble des activités RSS au budget national, l’établissement d’un lien entre la RSS et le programme de Désarmement, Démobilisation, Réinsertion (DDR) des éléments des groupes rebelles dont le démarrage est imminent ainsi que la désignation au sein des groupes thématiques « d’experts nationaux de qualité, à fonction exclusive, disponibles ».
Organisé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) en partenariat avec l’Union Européenne (UE), ce séminaire qui a débuté ses travaux le 19 février dernier, a permis aux groupes thématiques et les évaluateurs du Pnud et l’UE de faire le bilan et de mesurer le chemin parcouru par la République Centrafricaine pour la mise en œuvre le chronogramme de RSS.
« Les résultats de cette évaluation mixte montrent que des efforts notables ont été faits mais que le chemin à parcourir reste encore long », a déclaré dans son discours de clôture le Premier ministre centrafricain, qui s’est engagé à tout mettre en œuvre pour atteindre les objectifs de la RSS, à savoir d’établir un environnement sécurisé qui stimule le développement dans un contexte démocratique transparent, équitable et respectueux de l’Etat de droit, notamment, en renforçant la gestion des institutions sécuritaires et en constituant des forces de sécurité et de défense compétentes, professionnelles et respectueuses des lois de la République »
Les partenaires de la République Centrafricaine, notamment le PNUD et l’Union Européenne, se sont également engagés à fournir tout l’appui nécessaire à la réussite de cette expérience qui est une première dans ce domaine.
Il convient de rappeler que cette évaluation mixte est intervenue dix mois après le séminaire national d’avril 2008 à Bangui, qui avait abouti à la formulation d’un chronogramme d’activités RSS que le gouvernement s’était engagé solennellement à mettre en œuvre afin de ramener la sécurité dans le pays.
Ils ont cependant regretté que ce travail n’ait pas encore été porté et valorisé au niveau politique, ce qui a retardé la finalisation de plusieurs activités et handicapé la communication au niveau de la population.
Ils ont en conséquence formulé une dizaine de recommandations visant à activer le comité sectoriel (RSS), assurer le lien technique/politique par la participation du ministre de tutelle à une réunion du groupe thématique par mois ainsi qu’à mettre en place une structure de coordination interministérielle des forces de défense et de sécurité.
Les séminaristes ont également préconisé l’actualisation du chronogramme des activités, l’inscription de l’ensemble des activités RSS au budget national, l’établissement d’un lien entre la RSS et le programme de Désarmement, Démobilisation, Réinsertion (DDR) des éléments des groupes rebelles dont le démarrage est imminent ainsi que la désignation au sein des groupes thématiques « d’experts nationaux de qualité, à fonction exclusive, disponibles ».
Organisé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) en partenariat avec l’Union Européenne (UE), ce séminaire qui a débuté ses travaux le 19 février dernier, a permis aux groupes thématiques et les évaluateurs du Pnud et l’UE de faire le bilan et de mesurer le chemin parcouru par la République Centrafricaine pour la mise en œuvre le chronogramme de RSS.
« Les résultats de cette évaluation mixte montrent que des efforts notables ont été faits mais que le chemin à parcourir reste encore long », a déclaré dans son discours de clôture le Premier ministre centrafricain, qui s’est engagé à tout mettre en œuvre pour atteindre les objectifs de la RSS, à savoir d’établir un environnement sécurisé qui stimule le développement dans un contexte démocratique transparent, équitable et respectueux de l’Etat de droit, notamment, en renforçant la gestion des institutions sécuritaires et en constituant des forces de sécurité et de défense compétentes, professionnelles et respectueuses des lois de la République »
Les partenaires de la République Centrafricaine, notamment le PNUD et l’Union Européenne, se sont également engagés à fournir tout l’appui nécessaire à la réussite de cette expérience qui est une première dans ce domaine.
Il convient de rappeler que cette évaluation mixte est intervenue dix mois après le séminaire national d’avril 2008 à Bangui, qui avait abouti à la formulation d’un chronogramme d’activités RSS que le gouvernement s’était engagé solennellement à mettre en œuvre afin de ramener la sécurité dans le pays.
