Les présentations des opérateurs de téléphonie mobile et les contributions des experts ont permis aux participants de relever que la performance des réseaux de télécommunication dépend des facteurs endogènes et exogènes, l’ART doit jouer un rôle prépondérant dans l’établissement des critères de qualité de service pour assurer les contrôles.
Ils ont également souligné la nécessité d'un cadre juridique spécifique clair et accessible à tous les acteurs du secteur pour permettre l’amélioration de la qualité de service des réseaux de télécommunication en Centrafrique.
Pour sa part, le directeur général de l’ART a souligné que les travaux qui se sont déroulés pendant 5 jours ont permis, entre autres, « de déterminer les indicateurs pertinents permettant de mesurer la qualité de service des réseaux mobiles, d’établir des seuils minimum d’engagement des opérateurs sur ces indicateurs, de mettre en place les méthodes et les protocoles permettant de mesurer périodiquement la qualité des réseaux mobiles, de déterminer les acteurs chargés de ces mesures, de fixer la répartition des coûts par acteur et enfin d’établir les règles des sanctions et de la communication aux consommateurs ».
« Bien connecter la population centrafricaine, avec une qualité de service optimale, en explorant toutes les possibilités que les technologies de l’information et de la communication nous offrent, restera un défi permanent qui engagera les acteurs du secteur et l’ART pour la cohésion sociale et un développement durable », a souligné M. Saï.
« Je voudrais en cette circonstance rappeler que je tiens à la qualité de service de la téléphonie mobile, et j’en fais un combat dans l’intérêt du consommateur centrafricain », a déclaré le représentant du ministre des Postes et Télécommunications, M. Victor Komamakoa, qui a invité les consommateurs "à porter à la connaissance du ministre des Postes et Télécommunications chargé des Nouvelles Technologies ainsi que l’ART tout manquement de la part des opérateurs ».
Rappelons que le séminaire national sur la qualité de service des réseaux GSM en République Centrafricaine, organisé par l’ART a réuni une cinquantaine de participants venus du ministère de tutelle, des différents secteurs de téléphonie mobile et de l’association des consommateurs et avait pour objectif d’élaborer un texte réglementaire en concertation avec les acteurs dudit secteur, afin de rechercher l’amélioration de la qualité de service des réseaux GSM sur toute l’étendue du territoire centrafricain.
Ils ont également souligné la nécessité d'un cadre juridique spécifique clair et accessible à tous les acteurs du secteur pour permettre l’amélioration de la qualité de service des réseaux de télécommunication en Centrafrique.
Pour sa part, le directeur général de l’ART a souligné que les travaux qui se sont déroulés pendant 5 jours ont permis, entre autres, « de déterminer les indicateurs pertinents permettant de mesurer la qualité de service des réseaux mobiles, d’établir des seuils minimum d’engagement des opérateurs sur ces indicateurs, de mettre en place les méthodes et les protocoles permettant de mesurer périodiquement la qualité des réseaux mobiles, de déterminer les acteurs chargés de ces mesures, de fixer la répartition des coûts par acteur et enfin d’établir les règles des sanctions et de la communication aux consommateurs ».
« Bien connecter la population centrafricaine, avec une qualité de service optimale, en explorant toutes les possibilités que les technologies de l’information et de la communication nous offrent, restera un défi permanent qui engagera les acteurs du secteur et l’ART pour la cohésion sociale et un développement durable », a souligné M. Saï.
« Je voudrais en cette circonstance rappeler que je tiens à la qualité de service de la téléphonie mobile, et j’en fais un combat dans l’intérêt du consommateur centrafricain », a déclaré le représentant du ministre des Postes et Télécommunications, M. Victor Komamakoa, qui a invité les consommateurs "à porter à la connaissance du ministre des Postes et Télécommunications chargé des Nouvelles Technologies ainsi que l’ART tout manquement de la part des opérateurs ».
Rappelons que le séminaire national sur la qualité de service des réseaux GSM en République Centrafricaine, organisé par l’ART a réuni une cinquantaine de participants venus du ministère de tutelle, des différents secteurs de téléphonie mobile et de l’association des consommateurs et avait pour objectif d’élaborer un texte réglementaire en concertation avec les acteurs dudit secteur, afin de rechercher l’amélioration de la qualité de service des réseaux GSM sur toute l’étendue du territoire centrafricain.