POLITIQUE
Financé par le PNUD dans le cadre du Programme de renforcement de l’Etat de droit (PRED), cette formation vise à doter les techniciens d’identification judiciaire centrafricains venant des provinces de connaissances sur les méthodes d’identification, de traçabilité et de stockage de l’information criminelle.
La formation s'effectue avec l'assistance du Conseiller technique en police judiciaire de l’ Ambassade de France ainsi que des attachés de Sécurité intérieure. Des mallettes de dactyloscopie adaptées au contexte local, seront prochainement acheminées aux services de police des préfectures ciblées pour cette formation.
« La quête de la performance technique, intégrée aux méthodes robustes d’investigation traditionnelle, sera longue et devra être poursuivie bien après cette formation », a souhaité le représentant du PNUD, M. Bo Schack, qui a estimé qu’« il appartient à la direction générale de la police centrafricaine et aux fonctionnaires qui la composent, de s’approprier les méthodes indispensables à une gestion professionnelle et efficace des scènes de crime ».
Il a par ailleurs souligné que dans le contexte de la naissance de la police scientifique, la République Centrafricaine a tout à espérer du rapprochement d’acteurs complémentaires de la communauté internationale et de la mutualisation de leurs expertises.
Selon le ministre de la Sécurité, de l’Immigration, et de l’Ordre public, Jules Bernard Ouandé, ce stage s’inscrit dans le cadre de la réforme engagé par le gouvernement.
« Le choix des policiers venant de province pour suivre cette formation répond à l’une des orientations de notre politique de sécurité qui vise à couvrir l’ensemble du territoire national avec des unités de police dans chaque domaine spécifique, à savoir : la sécurité publique, le maintien de l’ordre, la police judiciaire », a-t-il souligné.
Me général Ouandé a également relevé que la police centrafricaine accuse un déficit considérable en matière d’investigation criminelle, notamment en ce qui concerne la preuve indiciaire", c’est pourquoi « grâce à ces mallettes portables de dactyloscopie, la police centrafricaine aura à faire face avec plus d’efficacité à cette situation », .a-t-il ajouté.
Il convient de noter que durant six jours les participants seront édifiés sur les modules tels que : la protection des traces et indices sur la scène de crime, la méthodologie de l’enquête technique sur la scène de crime, les techniques de prélèvement, de conditionnement et de conservation des traces et indices et la mise en situation pratique des stagiaires sur les techniques d’intervention.
La formation s'effectue avec l'assistance du Conseiller technique en police judiciaire de l’ Ambassade de France ainsi que des attachés de Sécurité intérieure. Des mallettes de dactyloscopie adaptées au contexte local, seront prochainement acheminées aux services de police des préfectures ciblées pour cette formation.
« La quête de la performance technique, intégrée aux méthodes robustes d’investigation traditionnelle, sera longue et devra être poursuivie bien après cette formation », a souhaité le représentant du PNUD, M. Bo Schack, qui a estimé qu’« il appartient à la direction générale de la police centrafricaine et aux fonctionnaires qui la composent, de s’approprier les méthodes indispensables à une gestion professionnelle et efficace des scènes de crime ».
Il a par ailleurs souligné que dans le contexte de la naissance de la police scientifique, la République Centrafricaine a tout à espérer du rapprochement d’acteurs complémentaires de la communauté internationale et de la mutualisation de leurs expertises.
Selon le ministre de la Sécurité, de l’Immigration, et de l’Ordre public, Jules Bernard Ouandé, ce stage s’inscrit dans le cadre de la réforme engagé par le gouvernement.
« Le choix des policiers venant de province pour suivre cette formation répond à l’une des orientations de notre politique de sécurité qui vise à couvrir l’ensemble du territoire national avec des unités de police dans chaque domaine spécifique, à savoir : la sécurité publique, le maintien de l’ordre, la police judiciaire », a-t-il souligné.
Me général Ouandé a également relevé que la police centrafricaine accuse un déficit considérable en matière d’investigation criminelle, notamment en ce qui concerne la preuve indiciaire", c’est pourquoi « grâce à ces mallettes portables de dactyloscopie, la police centrafricaine aura à faire face avec plus d’efficacité à cette situation », .a-t-il ajouté.
Il convient de noter que durant six jours les participants seront édifiés sur les modules tels que : la protection des traces et indices sur la scène de crime, la méthodologie de l’enquête technique sur la scène de crime, les techniques de prélèvement, de conditionnement et de conservation des traces et indices et la mise en situation pratique des stagiaires sur les techniques d’intervention.
