POLITIQUE
Organisée par le ministère de la Sécurité en partenariat avec le Bonuca, cette causerie-débat a mobilisé une quarantaine de représentants des ONG de défense des droits de l’Homme et les cadres de la Police Centrafricaine se sont penchés sur l’historique, l’organisation, le fonctionnement de la Police centrafricaine, ses missions traditionnelles et les perspectives de la réforme du secteur de la sécurité (RSS) en vue de rétablir la confiance entre la population et cette institution.
Selon le général Jules Bernard Ouandé, cette causerie entre les ONG de défense des droits de l’Homme et les responsables de la Police permet de favoriser un dialogue constructif et permanent et de jeter les bases d’un véritable partenariat dans l’intérêt de la population centrafricaine.
« La sécurité n’est plus un sujet tabou du domaine exclusif de ses acteurs. Il faut désormais impliquer les bénéficiaires, c'est-à-dire la population dans toutes sa diversité
», a déclaré le général Ouandé.
« L’intérêt de cette causerie est de soigner les relations entre la Police et la population (...). La Police doit se rapprocher davantage de la population parce qu’on s’est rendu compte qu’il y a un fossé qui se creuse, alorsque la Police est née de la société, elle doit être en contact permanent avec la société », a fait remarquer le directeur de l’Ecole Nationale de Police, M. Pascal Ngoko Boubala.
« Il ne faut pas seulement attendre que des situations conflictuelles arrivent pour venir vers la Police », a relevé M. Ngoko Boubala . « C’est pour ça que la police a voulu désormais instaurer un cadre de dialogue permanent avec la population », a-t-il conclu.
Signalons que cette causerie-débat intervient au moment où la République Centrafricaine s’est engagée dans la mise en œuvre de la Réforme du secteur de la sécurité (RSS) et du programme de Désarmement, démobilisation et réinsertion des ex-combattants (DDR) pour restaurer la paix dans le pays.
Selon le général Jules Bernard Ouandé, cette causerie entre les ONG de défense des droits de l’Homme et les responsables de la Police permet de favoriser un dialogue constructif et permanent et de jeter les bases d’un véritable partenariat dans l’intérêt de la population centrafricaine.
« La sécurité n’est plus un sujet tabou du domaine exclusif de ses acteurs. Il faut désormais impliquer les bénéficiaires, c'est-à-dire la population dans toutes sa diversité
», a déclaré le général Ouandé.
« L’intérêt de cette causerie est de soigner les relations entre la Police et la population (...). La Police doit se rapprocher davantage de la population parce qu’on s’est rendu compte qu’il y a un fossé qui se creuse, alorsque la Police est née de la société, elle doit être en contact permanent avec la société », a fait remarquer le directeur de l’Ecole Nationale de Police, M. Pascal Ngoko Boubala.
« Il ne faut pas seulement attendre que des situations conflictuelles arrivent pour venir vers la Police », a relevé M. Ngoko Boubala . « C’est pour ça que la police a voulu désormais instaurer un cadre de dialogue permanent avec la population », a-t-il conclu.
Signalons que cette causerie-débat intervient au moment où la République Centrafricaine s’est engagée dans la mise en œuvre de la Réforme du secteur de la sécurité (RSS) et du programme de Désarmement, démobilisation et réinsertion des ex-combattants (DDR) pour restaurer la paix dans le pays.
