POLITIQUE
Organisée par le ministère de l’Environnement et de l’Ecologie avec le concours technique du Pnud, cette journée a permis à quelques membres du gouvernement de prendre connaissance des enjeux de la lutte contre les changements climatiques en prélude au sommet de Copenhague.
« La République Centrafricaine est un pays très vulnérable aux effets néfastes des changements climatiques, et notamment dans leurs manifestations à travers les secteurs de son économie que sont, la Forêt, l’Agriculture, l’Elevage, la Santé, l’Environnement et l’Eau », a déclaré le ministre Naouéyama.
« Des actions concertées de tous ses partenaires doivent être mieux coordonnées dans le but d’aider le gouvernement à faire face à ce fléau, tout en l’accompagnant sur la route des négociations vers Copenhague, en décembre prochain », a-t-il.
M. Mbringa, qui représentait le Pnud, a affirmé que cette institution internationale compte accompagner la République Centrafricaine, partie de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC) depuis 1994 et à son protocole de Kyoto en 2008, pays impliqué depuis le début dans ce combat contre le défi du changement climatique.
« Le Pnud continuera à fournir son appui dans l’optique, d’une part, pour comprendre la façon dont les changements climatiques pourraient affecter la stabilité politique et économique et, d’autre part, de concevoir des moyens efficaces pour aborder ces problèmes », a-t-il ajouté.
Il faut noter que cette journée d’information et de sensibilisation à l’intention des décideurs était animée par la chargée de programme Environnement au Pnud, Mme Aline Malibangar, à travers des exposés sur les effets dévastateurs du changement climatique.
« La République Centrafricaine est un pays très vulnérable aux effets néfastes des changements climatiques, et notamment dans leurs manifestations à travers les secteurs de son économie que sont, la Forêt, l’Agriculture, l’Elevage, la Santé, l’Environnement et l’Eau », a déclaré le ministre Naouéyama.
« Des actions concertées de tous ses partenaires doivent être mieux coordonnées dans le but d’aider le gouvernement à faire face à ce fléau, tout en l’accompagnant sur la route des négociations vers Copenhague, en décembre prochain », a-t-il.
M. Mbringa, qui représentait le Pnud, a affirmé que cette institution internationale compte accompagner la République Centrafricaine, partie de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC) depuis 1994 et à son protocole de Kyoto en 2008, pays impliqué depuis le début dans ce combat contre le défi du changement climatique.
« Le Pnud continuera à fournir son appui dans l’optique, d’une part, pour comprendre la façon dont les changements climatiques pourraient affecter la stabilité politique et économique et, d’autre part, de concevoir des moyens efficaces pour aborder ces problèmes », a-t-il ajouté.
Il faut noter que cette journée d’information et de sensibilisation à l’intention des décideurs était animée par la chargée de programme Environnement au Pnud, Mme Aline Malibangar, à travers des exposés sur les effets dévastateurs du changement climatique.
