L’objet de ces premières assises sectorielles est non seulement de soumettre pour adoption aux acteurs publics et privés et ceux de la société civile le projet de document de politique nationale de lutte contre la corruption, mais également de présenter les rapports d’activités dudit Comité depuis sa naissance en 2008.
Signalons que le CNCL a été mis en place par le décret numéro 08.133 du 31 mars 2008 et est composé de quatorze membres qui sont des personnalités représentant l’administration, le secteur privé et la société civile.
Le but de ce Comité est d’élaborer et mettre en œuvre la stratégie de lutte contre la corruption et assurer sa diffusion auprès des acteurs publics et privés, coordonner, superviser et aider à la formulation des différentes actions du gouvernement relatives à la lutte contre la corruption, la transparence et la bonne gouvernance.
Ce Comité a aussi pour mission de mettre à la disposition du gouvernement un document de politique nationale de lutte contre la corruption ainsi que son plan d’action aux fins d’éradiquer la corruption et les infractions assimilées.
Selon M. Désiré Yassigao, la corruption constitue l’un des freins et fléaux qui entravent l’aboutissement des programmes de développement initiés par le gouvernement.
« Elle sape les efforts consentis par le gouvernement dans le cadre de stratégie de réduction de la pauvreté pour alléger les fardeaux des couches les plus vulnérables de la population », a-t-il ajouté.
Pendant les travaux, les participants ont été édifiés sur les différents rapports d’activités menés par le Comité et les comptes rendus des voyages d’échanges et d’études effectués au Mali et au Bénin par le Comité.
Il convient de noter que le Comité a aussi annoncé la tenue en l’an 2010 d'assises régionales et nationales pour la validation du Document de politique nationale de lutte contre la corruption.
Signalons que le CNCL a été mis en place par le décret numéro 08.133 du 31 mars 2008 et est composé de quatorze membres qui sont des personnalités représentant l’administration, le secteur privé et la société civile.
Le but de ce Comité est d’élaborer et mettre en œuvre la stratégie de lutte contre la corruption et assurer sa diffusion auprès des acteurs publics et privés, coordonner, superviser et aider à la formulation des différentes actions du gouvernement relatives à la lutte contre la corruption, la transparence et la bonne gouvernance.
Ce Comité a aussi pour mission de mettre à la disposition du gouvernement un document de politique nationale de lutte contre la corruption ainsi que son plan d’action aux fins d’éradiquer la corruption et les infractions assimilées.
Selon M. Désiré Yassigao, la corruption constitue l’un des freins et fléaux qui entravent l’aboutissement des programmes de développement initiés par le gouvernement.
« Elle sape les efforts consentis par le gouvernement dans le cadre de stratégie de réduction de la pauvreté pour alléger les fardeaux des couches les plus vulnérables de la population », a-t-il ajouté.
Pendant les travaux, les participants ont été édifiés sur les différents rapports d’activités menés par le Comité et les comptes rendus des voyages d’échanges et d’études effectués au Mali et au Bénin par le Comité.
Il convient de noter que le Comité a aussi annoncé la tenue en l’an 2010 d'assises régionales et nationales pour la validation du Document de politique nationale de lutte contre la corruption.