Trois jours durant, les participants venus de la République Démocratique du Congo (RDC), du Cameroun et de la République Centrafricaine ont débattu des problèmes qui freinent le bon fonctionnement du métier de journaliste en général et des femmes travailleuses des médias en particulier, dans la sous-région de l'Afrique Centrale.
Au terme de cet atelier, des recommandations fortes ont été formulées tant à l’endroit du gouvernement que de l’USYPAC, en vue de l’amélioration des conditions de vie et de travail des journalistes dans la zone.
Ces recommandations vont toutes dans le sens de la promotion des femmes aux postes de responsabilités dans les médias publics et privés. Une des recommandations de cet atelier exige la sensibilisation des femmes pour qu"elles s’intéressent au métier du Journaliste en Afrique Centrale.
A l'issue de ces assises, un Syndicat National des Professionnels de la Presse Centrafricaine (SYNAPROC) a été créé pour défendre les intérets des Journalistes centrafricains.
Pour un début, c'est un comité ad hoc qui est mis en place pour élaborer les statut et règlement intérieur du SYNAPROC avant d'organiser une assemblée générale constitutive dans les prochains jours.
Le Président de l’USYPAC, M. Stanis Nkundiyé s'est réjoui de la mise en place d'une structure syndicale en Centrafrique, ce qui selon lui, pourrait contribuer à améliorer "le mauvais traitement des Journalistes dans l’ Afrique Centrale", citant entre autres les arrièrées de salaires des travailleurs du secteur public en République Centrafricaine, au Cameroun et en RDC.
"Tous ces maux démontrent qu’il ne fait pas bon d’être Journaliste dans l’espace Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC)", a-t-il regretté évoquant la relégation au second plan des femmes dans les média de la sous-région.
Il a enfin rassuré les participants du soutien moral de l’USYPAC dans la mise en place des instruments juridiques devant garantir un avenir meilleur pour les générations futures.
Au terme de cet atelier, des recommandations fortes ont été formulées tant à l’endroit du gouvernement que de l’USYPAC, en vue de l’amélioration des conditions de vie et de travail des journalistes dans la zone.
Ces recommandations vont toutes dans le sens de la promotion des femmes aux postes de responsabilités dans les médias publics et privés. Une des recommandations de cet atelier exige la sensibilisation des femmes pour qu"elles s’intéressent au métier du Journaliste en Afrique Centrale.
A l'issue de ces assises, un Syndicat National des Professionnels de la Presse Centrafricaine (SYNAPROC) a été créé pour défendre les intérets des Journalistes centrafricains.
Pour un début, c'est un comité ad hoc qui est mis en place pour élaborer les statut et règlement intérieur du SYNAPROC avant d'organiser une assemblée générale constitutive dans les prochains jours.
Le Président de l’USYPAC, M. Stanis Nkundiyé s'est réjoui de la mise en place d'une structure syndicale en Centrafrique, ce qui selon lui, pourrait contribuer à améliorer "le mauvais traitement des Journalistes dans l’ Afrique Centrale", citant entre autres les arrièrées de salaires des travailleurs du secteur public en République Centrafricaine, au Cameroun et en RDC.
"Tous ces maux démontrent qu’il ne fait pas bon d’être Journaliste dans l’espace Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC)", a-t-il regretté évoquant la relégation au second plan des femmes dans les média de la sous-région.
Il a enfin rassuré les participants du soutien moral de l’USYPAC dans la mise en place des instruments juridiques devant garantir un avenir meilleur pour les générations futures.