POLITIQUE
Durant trois jours, les participants seront entretenus sur des thèmes comme la mission de la réconciliation nationale, le rôle des délgués et chefs d'antennes, le genre et la réconciliation, la réconciliation et les droits de l'homme, les techinques de communication pour un changement de comportement.
«Le choix de ces deux zones n’est pas le fruit du hasard, ce sont des régions dont les compatriotes sont pris en otage par leurs propres fils et filles depuis des années, des zones où l’économie s’est désintégrée et la confiance entre les différentes couches sociales de la communication s’est disloquée bref des zones en crise », a justifié le ministre d'Etat Cyrique Gonda.
Selon lui, dans un tel contexte, aucun effort de développement durable n'es envi*sageable tant du côté du gouvernement que du coté de la communauté. "Sans la paix, on ne peut pas parler de développement", a-t-il fait remarquer pour souligner l'importance de la réconciliation nationale et de la consolidation de la paix.
Il a aussi fait savoir que les journalistes, les artistes, les délégués et chefs d'antennes de la réconciliation nationale, les chefs de villages et de quartiers et les maires des différentes villes de la République devraient être les principaux messagers de la paix dans leurs zones d'opération.
Pour le Chargé d'antenne de l'UNESCO Mahamat Alhabo, ce séminaire de recyclage va contribuer à former des compétences capables de mener à bien les activités relatives à la paix. "En renforçant les capacités des délégués et chefs d’antennes de la réconciliation, ils pourront sensibiliser en masse les populations éloignées du capitale », a-t-il souligné.
Il a relevé que « cette lutte pour la consolidation de la paix ne serait pas possible sans la volonté, la générosité et l’engagement des différents acteurs ».
Il convient de noter que ce séminaire regroupe les délégués et chefs d'antennes venus des régions affectées par les conflits, les chefs de village et de quartiers ainsi que les maires des huit arrondissements de Bangui. La fin du séminaire est prévu pour le 17 décembre prochain.
«Le choix de ces deux zones n’est pas le fruit du hasard, ce sont des régions dont les compatriotes sont pris en otage par leurs propres fils et filles depuis des années, des zones où l’économie s’est désintégrée et la confiance entre les différentes couches sociales de la communication s’est disloquée bref des zones en crise », a justifié le ministre d'Etat Cyrique Gonda.
Selon lui, dans un tel contexte, aucun effort de développement durable n'es envi*sageable tant du côté du gouvernement que du coté de la communauté. "Sans la paix, on ne peut pas parler de développement", a-t-il fait remarquer pour souligner l'importance de la réconciliation nationale et de la consolidation de la paix.
Il a aussi fait savoir que les journalistes, les artistes, les délégués et chefs d'antennes de la réconciliation nationale, les chefs de villages et de quartiers et les maires des différentes villes de la République devraient être les principaux messagers de la paix dans leurs zones d'opération.
Pour le Chargé d'antenne de l'UNESCO Mahamat Alhabo, ce séminaire de recyclage va contribuer à former des compétences capables de mener à bien les activités relatives à la paix. "En renforçant les capacités des délégués et chefs d’antennes de la réconciliation, ils pourront sensibiliser en masse les populations éloignées du capitale », a-t-il souligné.
Il a relevé que « cette lutte pour la consolidation de la paix ne serait pas possible sans la volonté, la générosité et l’engagement des différents acteurs ».
Il convient de noter que ce séminaire regroupe les délégués et chefs d'antennes venus des régions affectées par les conflits, les chefs de village et de quartiers ainsi que les maires des huit arrondissements de Bangui. La fin du séminaire est prévu pour le 17 décembre prochain.
