"La RCA, c’est quand même un pays pauvre, c’est un pays qui est en difficulté, mais en même temps quand je vois la diversité culturelle, quand je vois la générosité des gens, je me dis que c’est un pays qui a un potentiel et donc maintenant cette responsabilité de réveiller ce potentiel, c’est l’ambassade de France », a souligné M. Deschamps au cours d'un entretien à l’ACAP, samedi 13 mars à Bambari, en marge des activités de la première caravane de la francophonie dans cette ville.
"Cette richesse que nous avons eue dans les sept villes de la première caravane de la francophonie prouve que la Centrafrique est un beau pays où on peut faire quelque chose », a-t-il déclaré également affirmé.
Selon lui, l’ambassadeur de France a inauguré une caravane de la francophonie avec un triple objectif : faire connaître la Centrafrique dans le monde entier de manière positive, notamment l’espace francophone, ensuite mettre en valeur les villes de province qui étaient non seulement oubliées mais paraissent éloignées et faire la promotion de la langue française.
« Cette caravane est un réveil, on a agité le monde culturel francophone et on continuera avec l’Alliance Française à revenir dans chaque ville de province, à essayer de promouvoir cette langue française. Il s’agit de la rendre utile et fonctionnelle ».
« Oui, il ya des difficultés, mais en même temps, il ne faut pas considérer l’indice de pauvreté comme on le voit : pas de route, pas de voiture, mais il y a des gens, j’ai vu des villages qui étaient bien aménagés et qui étaient bien construits », a-t-il fait remarquer.
"En définitive, il serait pauvre, mais en même temps il est riche et maintenant il s’agit d’améliorer les conditions de vie des gens pour que leurs enfants puissent faire des études, qu’ils puissent se faire soigner et ça revient à la promotion de la langue française et à l’alphabétisation", a-t-il souligné.
M. Deschamps a saisi l'occasion pour lancer un appel aux populations centrafricaines. « C’est vrai qu’il y a une petite fatalité là où il faut donner une aide, pour que les gens aient confiance en eux, c’est 'ayez confiance dans vos compétences' », a-t-il martelé.
Il faut rappeler que la caravane lancé depuis le 9 mars dernier à Rafaï par le président de la République, François Bozizé, devrait arriver à Bangui le 17 mars prochain, après avoir traversé 7 localités.
"Cette richesse que nous avons eue dans les sept villes de la première caravane de la francophonie prouve que la Centrafrique est un beau pays où on peut faire quelque chose », a-t-il déclaré également affirmé.
Selon lui, l’ambassadeur de France a inauguré une caravane de la francophonie avec un triple objectif : faire connaître la Centrafrique dans le monde entier de manière positive, notamment l’espace francophone, ensuite mettre en valeur les villes de province qui étaient non seulement oubliées mais paraissent éloignées et faire la promotion de la langue française.
« Cette caravane est un réveil, on a agité le monde culturel francophone et on continuera avec l’Alliance Française à revenir dans chaque ville de province, à essayer de promouvoir cette langue française. Il s’agit de la rendre utile et fonctionnelle ».
« Oui, il ya des difficultés, mais en même temps, il ne faut pas considérer l’indice de pauvreté comme on le voit : pas de route, pas de voiture, mais il y a des gens, j’ai vu des villages qui étaient bien aménagés et qui étaient bien construits », a-t-il fait remarquer.
"En définitive, il serait pauvre, mais en même temps il est riche et maintenant il s’agit d’améliorer les conditions de vie des gens pour que leurs enfants puissent faire des études, qu’ils puissent se faire soigner et ça revient à la promotion de la langue française et à l’alphabétisation", a-t-il souligné.
M. Deschamps a saisi l'occasion pour lancer un appel aux populations centrafricaines. « C’est vrai qu’il y a une petite fatalité là où il faut donner une aide, pour que les gens aient confiance en eux, c’est 'ayez confiance dans vos compétences' », a-t-il martelé.
Il faut rappeler que la caravane lancé depuis le 9 mars dernier à Rafaï par le président de la République, François Bozizé, devrait arriver à Bangui le 17 mars prochain, après avoir traversé 7 localités.