POLITIQUE
« Avec ce financement, nous allons maintenir les cinq groupes de Boali 1 et les deux groupes de Boali 2 en état de fonctionnement permanent pour éviter le grand délestage de 8 heures », a déclaré le Colonel Sylvain Ndoutingaï.
Pour le ministre d’Etat au Plan, M. Sylvain Maliko ce projet d’urgence constitue une réponse à la crise énergétique en couvrant les différentes faiblesses du système d’approvisionnement en énergie.
« Les réponses qui ont été apportées par la Banque mondiale nous donnent des assurances sur la qualité de ce dialogue que nous avons instauré depuis le réengagement de la Banque mondiale en République Centrafricaine », a-t-il avancé.
Il enfin souhaité que ce type de d’expérience inspire l’ensemble des interventions de la Banque mondiale en Centrafrique dans le cadre du programme pays qui va couvrir les trois prochaines années.
Selon Mme. Barton-Dock, le projet d’urgence en réponse à la crise énergétique s’inscrit dans la stratégie de la Banque mondiale et vise à favoriser la reprise des activités économiques en Centrafrique et complète le projet de réhabilitation d’entretien des infrastructures urbaines (PIRUSU).
« Egalement, ce projet a pour intérêt de rétablir une fourniture fiable d’électricité aux consommateurs de l’Energie Centrafricaine (ENERCA) à Bangui y compris les fournisseurs de service subsidiaire tel que la société de distribution d’eau en Centrafrique (SODECA) dans les hôpitaux et d’améliorer la performance en personnel », a-t-elle complété.
« Il est impératif d’avancer rapidement dans la mise en application pour atteindre les objectifs retenus » a souhaité Mme.Barton., invitant les autorités centrafricaines à tout mettre en œuvre pour le succès de cette collaboration.
Pour le ministre d’Etat au Plan, M. Sylvain Maliko ce projet d’urgence constitue une réponse à la crise énergétique en couvrant les différentes faiblesses du système d’approvisionnement en énergie.
« Les réponses qui ont été apportées par la Banque mondiale nous donnent des assurances sur la qualité de ce dialogue que nous avons instauré depuis le réengagement de la Banque mondiale en République Centrafricaine », a-t-il avancé.
Il enfin souhaité que ce type de d’expérience inspire l’ensemble des interventions de la Banque mondiale en Centrafrique dans le cadre du programme pays qui va couvrir les trois prochaines années.
Selon Mme. Barton-Dock, le projet d’urgence en réponse à la crise énergétique s’inscrit dans la stratégie de la Banque mondiale et vise à favoriser la reprise des activités économiques en Centrafrique et complète le projet de réhabilitation d’entretien des infrastructures urbaines (PIRUSU).
« Egalement, ce projet a pour intérêt de rétablir une fourniture fiable d’électricité aux consommateurs de l’Energie Centrafricaine (ENERCA) à Bangui y compris les fournisseurs de service subsidiaire tel que la société de distribution d’eau en Centrafrique (SODECA) dans les hôpitaux et d’améliorer la performance en personnel », a-t-elle complété.
« Il est impératif d’avancer rapidement dans la mise en application pour atteindre les objectifs retenus » a souhaité Mme.Barton., invitant les autorités centrafricaines à tout mettre en œuvre pour le succès de cette collaboration.
