POLITIQUE
Ce séminaire visait à doter les participants des techniques de formulation des politiques macroéconomiques et de contrôle citoyen de l’action publique par une approche participative à la planification, à la mise en œuvre, au suivi et à l'évaluation des politiques macroéconomiques.
Il s'agissait également de transmettre aux participants des techniques de plaidoyer et de mobilisation sociale pour influencer les décideurs ou conscientiser la population sur les enjeux.
Pour le ministre d’Etat à la Communication, il est désormais établi que les institutions et les sociétés civiles doivent travailler en « symbiose en vue de promouvoir la bonne gouvernance, contribuer de façon notable à l’enracinement de la démocratie et de l’Etat de droit ».
Selon M. Gonda, il s'agit surtout "de la bonne gouvernance et la lutte contre les maux qui minent la majorité des pays africains, dont par exemple, la corruption, les abus de biens sociaux , les détournements et j’en passe".
"Comme toute entreprise humaine, les aspirations que je viens d’énumérer, la promotion de la démocratie, de la bonne gouvernance et de la consolidation de l’Etat de droit font partie d’un processus nécessairement évolutif et perfectible", a souligné le ministre d’Etat, pour qui « nous mettons tout en œuvre pour être présents quand il s’agit de créer les conditions appropriées, les conditions nécessaires pour le renforcement des capacités multiformes de la société civile ».
Les vingt leaders des associations qui ont reçu des mains du ministre d’Etat leur parchemin ont adressé trois recommandations fortes au gouvernement, à la coordination du projet de renforcement des capacités des organisations de la société civile dans la prévention des conflits en Afrique Centrale (Progesco) et aux partenaires au développement.
Il s'agissait également de transmettre aux participants des techniques de plaidoyer et de mobilisation sociale pour influencer les décideurs ou conscientiser la population sur les enjeux.
Pour le ministre d’Etat à la Communication, il est désormais établi que les institutions et les sociétés civiles doivent travailler en « symbiose en vue de promouvoir la bonne gouvernance, contribuer de façon notable à l’enracinement de la démocratie et de l’Etat de droit ».
Selon M. Gonda, il s'agit surtout "de la bonne gouvernance et la lutte contre les maux qui minent la majorité des pays africains, dont par exemple, la corruption, les abus de biens sociaux , les détournements et j’en passe".
"Comme toute entreprise humaine, les aspirations que je viens d’énumérer, la promotion de la démocratie, de la bonne gouvernance et de la consolidation de l’Etat de droit font partie d’un processus nécessairement évolutif et perfectible", a souligné le ministre d’Etat, pour qui « nous mettons tout en œuvre pour être présents quand il s’agit de créer les conditions appropriées, les conditions nécessaires pour le renforcement des capacités multiformes de la société civile ».
Les vingt leaders des associations qui ont reçu des mains du ministre d’Etat leur parchemin ont adressé trois recommandations fortes au gouvernement, à la coordination du projet de renforcement des capacités des organisations de la société civile dans la prévention des conflits en Afrique Centrale (Progesco) et aux partenaires au développement.
