POLITIQUE
Organisée par la FCBB en partenariat avec la FIBA – Afrique, cette formation d'une semaine a regroupé une dizaine de stagiaires venus du Cameroun, du Gabon et de la République Centrafricaine.
Durant 7 jours, les participants ont été édifiés sur le basket-ball moderne et les méthodes de transmission de connaissances, par deux experts de la FIBA Afrique, MM. Claude Constantino et Théophile Ngoie Wa Ngoie’s.
« Notre objectif était de former principalement des instructeurs, qui vont sillonner tous les pays de la sous région d’Afrique Centrale pour transmettre le vrai message du basket moderne, qui est un jeu extrêmement simple », a indiqué l'un des expert, M. Claude Constantino.
« Le basket et une trilogie qu’il faut respecter, cette trilogie est composée des joueurs, des entraîneurs et des arbitres. Si une partie de cette trilogie est absente, on ne peut avoir une cohésion dans le jeu », a-t-il relevé avant de réaffirmer le soutien de la FIBA-Afrique à la Fédération centrafricaine de basket-ball.
« Nous allons continuer ce travail avec le président de la FCBB pour que la Centrafrique rejoigne sa place exacte. Car la Centrafrique est un grand pays de basket-ball. Avec la formation des entraîneurs, la formation des arbitres qui va déboucher sur une bonne formation des joueurs, le pays est dans la bonne voie, pour que d’ici peu de temps, votre pays rejoigne le fleuron du basket-ball africain », a-t-il conclu.
Le Chargé de mission en matière de sports au ministère de la jeunesse et des sports, M. Anthime Goumba a pour sa part demandé aux stagiaires de faire un bon usage des acquis de cette formation pour l'évolution du basket-ball africain.
« Je pense que ce stage a été très bien dans l’ensemble, nous avons reçu beaucoup d’informations nécessaires à la tâche que la FIBA Afrique veut bien nous assigner désormais, c'est-à-dire la formation des jeunes entraîneurs africains », a répondu un des participants venu du Cameroun, M. Mboé Gervais.
« Il faudra que l’Afrique Centrale s’attache à développer ce genre d’initiative à travers cette formation que nous avons eue aujourd’hui pour pouvoir retrouver sa place sur l'échiquier africain », a souhaité M. Mboé, faisant allusion à l'évolution de cette discipline en Angola.
Il faut rappeler que ce stage des instructeurs et des entraîneurs, qui vient de se terminer, a démarré le 11 novembre dernier à Bangui, à l'intiative du président de la Fédération centrafricaine de basket-ball, Elvis Bomayako.
Durant 7 jours, les participants ont été édifiés sur le basket-ball moderne et les méthodes de transmission de connaissances, par deux experts de la FIBA Afrique, MM. Claude Constantino et Théophile Ngoie Wa Ngoie’s.
« Notre objectif était de former principalement des instructeurs, qui vont sillonner tous les pays de la sous région d’Afrique Centrale pour transmettre le vrai message du basket moderne, qui est un jeu extrêmement simple », a indiqué l'un des expert, M. Claude Constantino.
« Le basket et une trilogie qu’il faut respecter, cette trilogie est composée des joueurs, des entraîneurs et des arbitres. Si une partie de cette trilogie est absente, on ne peut avoir une cohésion dans le jeu », a-t-il relevé avant de réaffirmer le soutien de la FIBA-Afrique à la Fédération centrafricaine de basket-ball.
« Nous allons continuer ce travail avec le président de la FCBB pour que la Centrafrique rejoigne sa place exacte. Car la Centrafrique est un grand pays de basket-ball. Avec la formation des entraîneurs, la formation des arbitres qui va déboucher sur une bonne formation des joueurs, le pays est dans la bonne voie, pour que d’ici peu de temps, votre pays rejoigne le fleuron du basket-ball africain », a-t-il conclu.
Le Chargé de mission en matière de sports au ministère de la jeunesse et des sports, M. Anthime Goumba a pour sa part demandé aux stagiaires de faire un bon usage des acquis de cette formation pour l'évolution du basket-ball africain.
« Je pense que ce stage a été très bien dans l’ensemble, nous avons reçu beaucoup d’informations nécessaires à la tâche que la FIBA Afrique veut bien nous assigner désormais, c'est-à-dire la formation des jeunes entraîneurs africains », a répondu un des participants venu du Cameroun, M. Mboé Gervais.
« Il faudra que l’Afrique Centrale s’attache à développer ce genre d’initiative à travers cette formation que nous avons eue aujourd’hui pour pouvoir retrouver sa place sur l'échiquier africain », a souhaité M. Mboé, faisant allusion à l'évolution de cette discipline en Angola.
Il faut rappeler que ce stage des instructeurs et des entraîneurs, qui vient de se terminer, a démarré le 11 novembre dernier à Bangui, à l'intiative du président de la Fédération centrafricaine de basket-ball, Elvis Bomayako.
