POLITIQUE
Selon, M. Aristide Kaïmba, les activités de ces 6èmes journées ont permis de faire la promotion de la lutte contre cette maladie en sensibilisant la population sur la discrimination à l'égard des malades mentaux et de leur famille, tout en leur donnant l'espoir thérapeutique de la schizophrénie.
Il a indiqué que la célébration des 6ème journées a également permis de mobiliser les partenaires en faveur des malades mentaux, notamment la nécessité de leur prise en charge et la lutte contre la discrimination à leur égard.
M. Kaïmba a enfin exhorté le gouvernement à plaider auprès des partenaires afin d'accompagner les actions de l'ACA, dans le renforcement des capacités, la prise en charge, psycho thérapeutique et alimentaire des patients.
Selon le Docteur Tabo André, psychiatre au Centre national hospitalier universitaire de Bangui, la schizophrénie est une maladie invalidante très mal connue en République centrafricaine et dont la prise en charge est approximatif, compte tenu du manque de moyens.
Il a indiqué que cette maladie touche 1% de la population dont l'âge varie entre de 15 à 20 ans. Ce qui cause selon lui « de sérieux handicaps à la jeunesse centrafricaine », tout en rassurant la population de la possibilité de traitement de cette maladie.
Il a indiqué que la célébration des 6ème journées a également permis de mobiliser les partenaires en faveur des malades mentaux, notamment la nécessité de leur prise en charge et la lutte contre la discrimination à leur égard.
M. Kaïmba a enfin exhorté le gouvernement à plaider auprès des partenaires afin d'accompagner les actions de l'ACA, dans le renforcement des capacités, la prise en charge, psycho thérapeutique et alimentaire des patients.
Selon le Docteur Tabo André, psychiatre au Centre national hospitalier universitaire de Bangui, la schizophrénie est une maladie invalidante très mal connue en République centrafricaine et dont la prise en charge est approximatif, compte tenu du manque de moyens.
Il a indiqué que cette maladie touche 1% de la population dont l'âge varie entre de 15 à 20 ans. Ce qui cause selon lui « de sérieux handicaps à la jeunesse centrafricaine », tout en rassurant la population de la possibilité de traitement de cette maladie.
