POLITIQUE
Sur les 3 témoignages qui ont précédé l’oraison funèbre prononcé par M. Germain Silaï Gotto, on retiendra celui, émouvant, du Coordonnateur national du CNPS, l’ambassadeur Honoré Nzessiwé, très affecté par la disparition de celui qui était pressenti pour devenir le premier directeur régional du Centre Levi Muanawasa de promotion de la démocratie et de la bonne gouvernance dont le siège se trouve à Lusaka, en Zambie.
« Par nos batailles et nos peines, tu peux être fier d’avoir été parmi les pionniers de cette ouverture de notre pays pour cette partie orientale de notre continent ou Centrafrique rayonne par la qualité reconnue là bas de la plupart de ses experts, à commencer par toi-même, artisan de la structure du pacte de Naïrobi, concepteur de la loi cadre sur les personnes déplacées internes, chef de file respecté du groupe thématique régional Démocratie et Bonne Gouvernance ».
« Par son sens de l’humour, il savait partager le sourire à ses collaborateurs, par ses capacités spirituelles, il savait consoler les déprimés », a souligné, quant à lui, M. Sylaï Gotto, ajoutant que ce « haut cadre consciencieux et dévoué, Basile Diba, savait se faire distinguer par la qualité de ses prestations et la pertinence de ses idées », qui lui ont permis contribuer de façon significative « aux actions en faveur de la paix, de l’unité, de la réconciliation, des droits de l’homme de la bonne gouvernance et de l’Etat de droit ».
Expert juriste né vers 1960 à Boali (95 km au nord-ouest de Bangui), Basile Diba était titulaire d’un doctorat en Relations Internationales obtenu en 1988 à Yaoundé, au Cameroun, après une licence en droit public à l’université de Bangui.
Conduit à sa dernière demeure, lundi dans l’après-midi, Basile Diba laisse derrière lui une veuve et dix (10) enfants.
« Par nos batailles et nos peines, tu peux être fier d’avoir été parmi les pionniers de cette ouverture de notre pays pour cette partie orientale de notre continent ou Centrafrique rayonne par la qualité reconnue là bas de la plupart de ses experts, à commencer par toi-même, artisan de la structure du pacte de Naïrobi, concepteur de la loi cadre sur les personnes déplacées internes, chef de file respecté du groupe thématique régional Démocratie et Bonne Gouvernance ».
« Par son sens de l’humour, il savait partager le sourire à ses collaborateurs, par ses capacités spirituelles, il savait consoler les déprimés », a souligné, quant à lui, M. Sylaï Gotto, ajoutant que ce « haut cadre consciencieux et dévoué, Basile Diba, savait se faire distinguer par la qualité de ses prestations et la pertinence de ses idées », qui lui ont permis contribuer de façon significative « aux actions en faveur de la paix, de l’unité, de la réconciliation, des droits de l’homme de la bonne gouvernance et de l’Etat de droit ».
Expert juriste né vers 1960 à Boali (95 km au nord-ouest de Bangui), Basile Diba était titulaire d’un doctorat en Relations Internationales obtenu en 1988 à Yaoundé, au Cameroun, après une licence en droit public à l’université de Bangui.
Conduit à sa dernière demeure, lundi dans l’après-midi, Basile Diba laisse derrière lui une veuve et dix (10) enfants.
