POLITIQUE
Selon le bulletin d’information du Comité national de lutte contre la corruption, « la corruption est un problème qui touche tous les domaines de la vie publique et constitue le principal obstacle à une mise en œuvre effective des normes en matière de droits de l’Homme. La corruption au sein du système de justice porte atteinte à l’Etat de droit, favorise l’impunité, entraîne l’iniquité des procès et mine tout effort de développement humain ».
Le ministre chargé du Guichet unique, M. Moise Kotayé a rappelé le message du secrétaire général des Nations Unies à l’occasion de cette Journée soulignant que « les deniers publics dérobés par esprit de lucre sont autant de ressources en moins pour la construction d’écoles, d’hôpitaux, de routes et ‘installations de traitement des eaux ».
« La corruption se traduit par une perte importante de ressources »fiscales et douanières » et des dépenses inutiles qui aurait dû être employés à accroître le développement », a ajouté M. Kotayé.
« En ratifiant la convention des Nations Unies et de l’Union Africaine sur la corruption, la République Centrafricaine a adhéré totalement à ce processus et a exprimé sa volonté à travers le Document stratégique de réduction de la pauvreté et la bonne gouvernance »,a-t-il expliqué.
Il a exhorté les membres du CNCL et tous les Centrafricains à se lever comme un seul homme derrière le gouvernement afin de bouter la corruption hors de la République centrafricaine.
Il convient de noter que le Document de politique nationale de lutte contre la corruption sera validé lors des prochaines assises nationales en décembre 2010.
Le ministre chargé du Guichet unique, M. Moise Kotayé a rappelé le message du secrétaire général des Nations Unies à l’occasion de cette Journée soulignant que « les deniers publics dérobés par esprit de lucre sont autant de ressources en moins pour la construction d’écoles, d’hôpitaux, de routes et ‘installations de traitement des eaux ».
« La corruption se traduit par une perte importante de ressources »fiscales et douanières » et des dépenses inutiles qui aurait dû être employés à accroître le développement », a ajouté M. Kotayé.
« En ratifiant la convention des Nations Unies et de l’Union Africaine sur la corruption, la République Centrafricaine a adhéré totalement à ce processus et a exprimé sa volonté à travers le Document stratégique de réduction de la pauvreté et la bonne gouvernance »,a-t-il expliqué.
Il a exhorté les membres du CNCL et tous les Centrafricains à se lever comme un seul homme derrière le gouvernement afin de bouter la corruption hors de la République centrafricaine.
Il convient de noter que le Document de politique nationale de lutte contre la corruption sera validé lors des prochaines assises nationales en décembre 2010.
