POLITIQUE
« Le projet fibre optique se situe dans le cadre du projet de construction d’un réseau de télécommunication à haut débit en Afrique Centrale qui concerne les six pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC), dont la première phase va commencer au Cameroun, au Tchad et en Centrafrique », a déclaré M. Gourna Zacko.
Il a expliqué que le projet est financé conjointement par la Banque mondiale et la Banque africaine de développement (BAD) qui se partagent chacune les 50% du budget estimé à 35 millions de dollars.
Il a expliqué que la fibre optique est « une autoroute de l’information, et constitue un moyen supplémentaire destiné à rendre plus efficace, plus fluide le système de communication, et démocratiser la communication dans les pays bénéficiaires, notamment la République Centrafricaine qui est un pays enclavé, d’ici à 2015 ».
Selon M. Gourna Zacko, la réalisation de la fibre optique va permettre aussi d'asseoir « la transparence dans la gestion des affaires de l’Etat » et d’augmenter la capacité de connexion de la République Centrafricaine qui, jusqu’ici n’utilise que le système satellitaire, ayant des canaux et des fréquences limités.
Ainsi donc, ce projet vient pallier les difficultés de connexion aux différents réseaux de télécommunication et faciliter la couverture de la totalité du territoire national en réseau de téléphonie mobile et en Internet.
Notons que la République Centrafricaine a bénéficié d’un don de la part de la Banque mondiale pour la construction de la fibre optique qui sera étendue sur 750 Km, partant du Cameroun à la Centrafrique en passant par le Tchad.
Il convient de signaler que la République du Congo, la Guinée Equatoriale et la République Démocratique du Congo vont bénéficier de la deuxième phase du projet.
Le délai d’exécution du projet est du 15 septembre 2009 au 15 septembre 2015.
Il a expliqué que le projet est financé conjointement par la Banque mondiale et la Banque africaine de développement (BAD) qui se partagent chacune les 50% du budget estimé à 35 millions de dollars.
Il a expliqué que la fibre optique est « une autoroute de l’information, et constitue un moyen supplémentaire destiné à rendre plus efficace, plus fluide le système de communication, et démocratiser la communication dans les pays bénéficiaires, notamment la République Centrafricaine qui est un pays enclavé, d’ici à 2015 ».
Selon M. Gourna Zacko, la réalisation de la fibre optique va permettre aussi d'asseoir « la transparence dans la gestion des affaires de l’Etat » et d’augmenter la capacité de connexion de la République Centrafricaine qui, jusqu’ici n’utilise que le système satellitaire, ayant des canaux et des fréquences limités.
Ainsi donc, ce projet vient pallier les difficultés de connexion aux différents réseaux de télécommunication et faciliter la couverture de la totalité du territoire national en réseau de téléphonie mobile et en Internet.
Notons que la République Centrafricaine a bénéficié d’un don de la part de la Banque mondiale pour la construction de la fibre optique qui sera étendue sur 750 Km, partant du Cameroun à la Centrafrique en passant par le Tchad.
Il convient de signaler que la République du Congo, la Guinée Equatoriale et la République Démocratique du Congo vont bénéficier de la deuxième phase du projet.
Le délai d’exécution du projet est du 15 septembre 2009 au 15 septembre 2015.
