POLITIQUE
Organisé par le Bureau de l'Organisation des Nations Unies en Centrafrique (Bonuca), cette manifestation s'est essentiellement concentrée sur la lecture, par M. François Lonseny Fall, du message du Secrétaire général de l'ONU, M. Ban Ki-Moon, à l'occasion de cette célébration dont le thème est « la dignité et la justice pour tous ».
Dans son message, le Secrétaire général des Nations Unies a rappelé que la Déclaration universelle des Droits de l'homme a vu le jour au lendemain de la deuxième guerre mondiale et constitue l'engagement des hommes du monde à mettre fin aux hostilités qui portent atteinte à la dignité humaine.
"La Déclaration rencontre les aspirations de l’humanité à la prospérité, à la dignité et à la coexistence pacifique, cette adoption a marqué un tournoi et encore aujourd’hui, la déclaration est un élément essentiel de l’identité même de l’ONU", indique M. Ban Ki-Moon.
Pour lui, "les défis auxquels nous devons faire face sont tout aussi écrasants que ceux auxquels se heurtaient les auteurs de la Déclaration", citant entre autres la crise alimentaire mondiale, la crise financière internationale, la dégradation de l'environnement par la faute de l'homme, la répression politique qui sévit dans plusieurs pays du monde.
"Les violations des droits de l’Homme et l’indifférence peuvent, à terme, s’étendre à toute la planète. Les droits de l’Homme en particulier, la lutte contre la violation doivent unir le monde entier dans un esprit de solidarité", déclare le Secrétaire général des Nations Unies.
"A l’occasion de cette journée des droits de l’Homme, j’espère que nous nous acquitterons, ensemble, de la responsabilité commune qui nous incombe d’assurer le respect des droits de l’Homme inscrit dans la Déclaration", conclut-il.
.Le Haut Commissaire aux droits de l’homme, M. Abacar Nyankanda, a pour sa part fait remarquer que "les questions des droits de l’Homme restent une préoccupation pour le gouvernement centrafricain".
"Nous avons des rapports qui font état de certains comportements dans le pays et existent par frayeurs», mais « l’essentiel pour le gouvernement est que ces problèmes soient traités", a-t-il précisé.
"Le gouvernement souhaite que ces 60 ans soient une autre étape pour que ces questions des droits de l’Homme puissent être mieux traitées pour la dignité de l’homme, afin que la liberté de l’homme puisse être respectée, » a-t-il indiqué.
A l'occasion de cette célébration, des recommandations ont été formulées à l'endroit du BONUCA et du gouvernement allant dans le sens des dispositions nécessaires pour punir les crimes et les exactions commises sur les populations, l’éducation des filles, l'appui aux ONG nationales de défense des droits de l'Homme, le renforcement des capacités des organisations communautaires, des élus locaux et des notables en matière de droits de l’Homme.
Notons que dans le cadre de ces festivités, le BONUCA a remis des exemplaires de la Déclaration universelle des droits de l’Homme illustrée à quelques établissements scolaires de Bangui, il s'agit de l’Ecole Saint Charles et du Lycée Marie Jeanne Caron.
Dans son message, le Secrétaire général des Nations Unies a rappelé que la Déclaration universelle des Droits de l'homme a vu le jour au lendemain de la deuxième guerre mondiale et constitue l'engagement des hommes du monde à mettre fin aux hostilités qui portent atteinte à la dignité humaine.
"La Déclaration rencontre les aspirations de l’humanité à la prospérité, à la dignité et à la coexistence pacifique, cette adoption a marqué un tournoi et encore aujourd’hui, la déclaration est un élément essentiel de l’identité même de l’ONU", indique M. Ban Ki-Moon.
Pour lui, "les défis auxquels nous devons faire face sont tout aussi écrasants que ceux auxquels se heurtaient les auteurs de la Déclaration", citant entre autres la crise alimentaire mondiale, la crise financière internationale, la dégradation de l'environnement par la faute de l'homme, la répression politique qui sévit dans plusieurs pays du monde.
"Les violations des droits de l’Homme et l’indifférence peuvent, à terme, s’étendre à toute la planète. Les droits de l’Homme en particulier, la lutte contre la violation doivent unir le monde entier dans un esprit de solidarité", déclare le Secrétaire général des Nations Unies.
"A l’occasion de cette journée des droits de l’Homme, j’espère que nous nous acquitterons, ensemble, de la responsabilité commune qui nous incombe d’assurer le respect des droits de l’Homme inscrit dans la Déclaration", conclut-il.
.Le Haut Commissaire aux droits de l’homme, M. Abacar Nyankanda, a pour sa part fait remarquer que "les questions des droits de l’Homme restent une préoccupation pour le gouvernement centrafricain".
"Nous avons des rapports qui font état de certains comportements dans le pays et existent par frayeurs», mais « l’essentiel pour le gouvernement est que ces problèmes soient traités", a-t-il précisé.
"Le gouvernement souhaite que ces 60 ans soient une autre étape pour que ces questions des droits de l’Homme puissent être mieux traitées pour la dignité de l’homme, afin que la liberté de l’homme puisse être respectée, » a-t-il indiqué.
A l'occasion de cette célébration, des recommandations ont été formulées à l'endroit du BONUCA et du gouvernement allant dans le sens des dispositions nécessaires pour punir les crimes et les exactions commises sur les populations, l’éducation des filles, l'appui aux ONG nationales de défense des droits de l'Homme, le renforcement des capacités des organisations communautaires, des élus locaux et des notables en matière de droits de l’Homme.
Notons que dans le cadre de ces festivités, le BONUCA a remis des exemplaires de la Déclaration universelle des droits de l’Homme illustrée à quelques établissements scolaires de Bangui, il s'agit de l’Ecole Saint Charles et du Lycée Marie Jeanne Caron.
