Au sortir de l'audience, M. Nuhu a indiqué qu'il venait d'être nommé, en février dernier, à la tête de la CBLT, ce qui l'a autorisé à envisager une mission à l'attention des autorités des pays membres de la CBLT afin à la fois de se présenter et de débattre des réformes qu'il a initiées.
M. Nuhu a reconnu que la République Centrafricaine est d'avis pour le transfert des eaux de l'Oubangui vers le Lac Tchad, seulement, tout dépend des études de faisabilité. C'est pourquoi il a demandé le concours du parlement afin de faire des plaidoyers auprès d'autres organisations, notamment la Commission Internationale du Bassin Congo-Oubangui-Sangha (CICOS).
Au sujet des études de faisabilité, la première avait été menée par une structure canadienne. La seconde est en vue et est susceptible d'être conduite conjointement par une compagnie chinoise et une autre d'origine italienne. Le gouvernement chinois a déjà pré-positionné un financement de 1,8 millions de dollars, tandis que celui de l'Italie a promis 1,5 millions d'euros.
Il y a lieu de signaler que la CBLT dispose de trois objectifs qui sont d'ordre sécuritaire, éco-systémique et le transfert des eaux de l'Oubangui vers le lac Tchad.
Aussi, la CBLT s'est dotée d'une charte de l'eau qui, jusque-là, n'a pas été ratifiée par la République Centrafricaine, alors que le pays fait partie des promoteurs du projet. Député à l'Assemblée nationale, Emilie-Béatrice Epaye, a estimé qu'il est intéressant que le gouvernement se penche sur le projet pour aboutir un jour à la ratification.
M. Nuhu a reconnu que la République Centrafricaine est d'avis pour le transfert des eaux de l'Oubangui vers le Lac Tchad, seulement, tout dépend des études de faisabilité. C'est pourquoi il a demandé le concours du parlement afin de faire des plaidoyers auprès d'autres organisations, notamment la Commission Internationale du Bassin Congo-Oubangui-Sangha (CICOS).
Au sujet des études de faisabilité, la première avait été menée par une structure canadienne. La seconde est en vue et est susceptible d'être conduite conjointement par une compagnie chinoise et une autre d'origine italienne. Le gouvernement chinois a déjà pré-positionné un financement de 1,8 millions de dollars, tandis que celui de l'Italie a promis 1,5 millions d'euros.
Il y a lieu de signaler que la CBLT dispose de trois objectifs qui sont d'ordre sécuritaire, éco-systémique et le transfert des eaux de l'Oubangui vers le lac Tchad.
Aussi, la CBLT s'est dotée d'une charte de l'eau qui, jusque-là, n'a pas été ratifiée par la République Centrafricaine, alors que le pays fait partie des promoteurs du projet. Député à l'Assemblée nationale, Emilie-Béatrice Epaye, a estimé qu'il est intéressant que le gouvernement se penche sur le projet pour aboutir un jour à la ratification.