
Ces nouvelles hostilités auraient pour objectifs d’obliger le Président de la République François Bozizé à abandonner le pouvoir ou à entamer une discussion avec Eric Neris.
Après le déclenchement des hostilités par les Séléka le 10 décembre dernier, les chefs d’Etat des pays de la Communauté Economiques des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) avaient convenu de mettre les belligérants autour d’une même table. Les pourparlers ont abouti à un accord politique dit de Libreville.
Grâce à ces accords, un Gouvernement d’Union Nationale (GUN) a été formé, dirigé par Maître Nicolas Tiangaye, issu de l’opposition.
Dans ce même gouvernement figurent les personnalités provenant de la majorité présidentielle, des groupes armés, des groupes armés non combattants, l’opposition et la société civile.
Avec le concours des forces de la CEEAC (la FOMAC), les ex-combattants étaient pourtant sur le point d’être cantonnés sur quatre sites, à savoir : Kaga Bandoro, Bria, Ndélé et peut-être Sam Ouandja.
Malgré ce processus, tout se passe comme si certains leaders ne sont pas d’accord avec la formation du gouvernement. C’est dans cet esprit qu’il faut comprendre les nouvelles hostilités, réclamées par Eric Neris, qui serait de mèche avec le colonel Ramadane.
En tout cas, dans l’esprit même de l’accord de Libreville, les commanditaires de ces nouvelles hostilités prendront leurs responsabilités devant le peuple centrafricain qui aspire à la paix, les chefs des dix Etats de la CEEAC et l’ensemble de la communauté internationale, qui appuient sérieusement le processus de paix en République Centrafricaine.
Après le déclenchement des hostilités par les Séléka le 10 décembre dernier, les chefs d’Etat des pays de la Communauté Economiques des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC) avaient convenu de mettre les belligérants autour d’une même table. Les pourparlers ont abouti à un accord politique dit de Libreville.
Grâce à ces accords, un Gouvernement d’Union Nationale (GUN) a été formé, dirigé par Maître Nicolas Tiangaye, issu de l’opposition.
Dans ce même gouvernement figurent les personnalités provenant de la majorité présidentielle, des groupes armés, des groupes armés non combattants, l’opposition et la société civile.
Avec le concours des forces de la CEEAC (la FOMAC), les ex-combattants étaient pourtant sur le point d’être cantonnés sur quatre sites, à savoir : Kaga Bandoro, Bria, Ndélé et peut-être Sam Ouandja.
Malgré ce processus, tout se passe comme si certains leaders ne sont pas d’accord avec la formation du gouvernement. C’est dans cet esprit qu’il faut comprendre les nouvelles hostilités, réclamées par Eric Neris, qui serait de mèche avec le colonel Ramadane.
En tout cas, dans l’esprit même de l’accord de Libreville, les commanditaires de ces nouvelles hostilités prendront leurs responsabilités devant le peuple centrafricain qui aspire à la paix, les chefs des dix Etats de la CEEAC et l’ensemble de la communauté internationale, qui appuient sérieusement le processus de paix en République Centrafricaine.