
Cette conférence de presse a essentiellement porté sur la récente visite de travail que le Président du CNT a effectué au Niger, du 26 août au 1er septembre dernier, à l’invitation de M. Hama Amadou, Président de l’Assemblée nationale du pays hôte, dans le but d’une part de puiser dans l’expérience du Niger afin d’aider au mieux la conduite de la transition jusqu’à ce qu’elle aboutisse à des élections libres, justes et transparentes et également renforcer les liens de coopération parlementaire entre les deux pays.
M. Alexandre-Ferdinand Nguédet a justifié cette mission par le fait que, premièrement, le Niger, tout comme la République Centrafricaine actuellement avec le changement du 24 mars dernier, avait « connu dans son histoire des moments difficiles qui sont rapidement et méthodiquement réglées grâce à l’intelligence et à l’entente de ses élites politiques ».
Et pour sortir de la crise, le Niger avait mis en place un Conseil National de Dialogue Politique qui a servi de plateforme aux discussions et échanges sur la conduite de cette période.
Deuxièmement, « au plan de la diplomatie parlementaire, le Président du CNT a cru nécessaire d’établir un contact avec l’Assemblée nationale du Niger dans un cadre d’échanges et de coopération parlementaire ».
Au sortir de cette mission, M. Alexandre-Ferdinand Nguédet s’en sort avec deux enseignants.
Le premier enseignement est qu’une transition politique est souvent accompagnée de divergences de vues. Raison pour laquelle, le Président du CNT s’est fait le chantre de la « promotion de la tolérance aux fins de d’éviter les grands bouleversements dans la société ».
La deuxième leçon repose « sur le dialogue et la concertation entre les acteurs de la transition », a renchéri M. Alexandre-Ferdinand Nguédet. C’est pour cela qu’il a évoqué la nécessité « échanges et débats constructifs sur ce qui doit être réalisé ».
Profitant de son séjour au Niger, M. Alexandre-Ferdinand Nguédet a rencontré le Groupe d’amitié Niger- Centrafrique qui est un réseau de parlementaires. Avec eux, ils ont identifié quatre axes de coopération interparlementaire comprenant les échanges d’expériences, le renforcement de la coopération bilatérale, les rapports commerciaux et la promotion de la démocratie.
Il a également saisi l’opportunité pour s’entretenir avec les Centrafricains vivant au Niger, constitués majoritairement d’étudiants, de stagiaires militaires et civils et ceux qui exercent dans le secteur privé.
M. Alexandre-Ferdinand Nguédet a justifié cette mission par le fait que, premièrement, le Niger, tout comme la République Centrafricaine actuellement avec le changement du 24 mars dernier, avait « connu dans son histoire des moments difficiles qui sont rapidement et méthodiquement réglées grâce à l’intelligence et à l’entente de ses élites politiques ».
Et pour sortir de la crise, le Niger avait mis en place un Conseil National de Dialogue Politique qui a servi de plateforme aux discussions et échanges sur la conduite de cette période.
Deuxièmement, « au plan de la diplomatie parlementaire, le Président du CNT a cru nécessaire d’établir un contact avec l’Assemblée nationale du Niger dans un cadre d’échanges et de coopération parlementaire ».
Au sortir de cette mission, M. Alexandre-Ferdinand Nguédet s’en sort avec deux enseignants.
Le premier enseignement est qu’une transition politique est souvent accompagnée de divergences de vues. Raison pour laquelle, le Président du CNT s’est fait le chantre de la « promotion de la tolérance aux fins de d’éviter les grands bouleversements dans la société ».
La deuxième leçon repose « sur le dialogue et la concertation entre les acteurs de la transition », a renchéri M. Alexandre-Ferdinand Nguédet. C’est pour cela qu’il a évoqué la nécessité « échanges et débats constructifs sur ce qui doit être réalisé ».
Profitant de son séjour au Niger, M. Alexandre-Ferdinand Nguédet a rencontré le Groupe d’amitié Niger- Centrafrique qui est un réseau de parlementaires. Avec eux, ils ont identifié quatre axes de coopération interparlementaire comprenant les échanges d’expériences, le renforcement de la coopération bilatérale, les rapports commerciaux et la promotion de la démocratie.
Il a également saisi l’opportunité pour s’entretenir avec les Centrafricains vivant au Niger, constitués majoritairement d’étudiants, de stagiaires militaires et civils et ceux qui exercent dans le secteur privé.