Réagissant à l'adoption du projet de loi, le ministre de l’Environnement et du Développement Durable, Thierry Kamach, a déclaré que c’est une victoire pour la République Centrafricaine qui bénéficiera de l’appui technique et des financements relatifs à la mise en ’œuvre des projets liés à ladite convention permettant de lutter contre les produits chimiques et les pesticides non homologués dans notre pays.
Il a rappelé que les produits chimiques détruisent et peuvent en même temps dégrader les terres dans la mesure où ils sont mal utilisés comme engrais dans les plantations si la posologie n'est pas respectée.
Selon lui, plusieurs de ces produits chimiques sont hautement dangereux et leur implication ou utilisation dans les pays en voie de développement parmi lesquels la République Centrafricaine nécessite une attention particulière.
Il a insisté sur les méfaits des produits chimiques et pesticides qui ne cessent de faire des victimes à travers le monde en ce qui concerne la santé humaine et l’environnement alors qu’ils font l’objet de commerce international.
Il a rappelé que la République Centrafricaine avait pris part en 1992 à la conférence de Rio de Janeiro sur l’Environnement et le Développement ainsi que le chapitre19 d’action 21 intitulé « Gestion écologique rationnelle des substances chimiques toxiques, y compris la préservation de trafic international illicite des produits toxiques et dangereux ».
Ce débat fait suite aux travaux de la commission des Affaires étrangères sur ce projet de la loi qui se sont déroulé les 12, 13, 16, 17, 18, 19, et 20 avril 2018 sous la présidence d’Emilie Béatrice Epaye, Présidente de la commission.
Il a rappelé que les produits chimiques détruisent et peuvent en même temps dégrader les terres dans la mesure où ils sont mal utilisés comme engrais dans les plantations si la posologie n'est pas respectée.
Selon lui, plusieurs de ces produits chimiques sont hautement dangereux et leur implication ou utilisation dans les pays en voie de développement parmi lesquels la République Centrafricaine nécessite une attention particulière.
Il a insisté sur les méfaits des produits chimiques et pesticides qui ne cessent de faire des victimes à travers le monde en ce qui concerne la santé humaine et l’environnement alors qu’ils font l’objet de commerce international.
Il a rappelé que la République Centrafricaine avait pris part en 1992 à la conférence de Rio de Janeiro sur l’Environnement et le Développement ainsi que le chapitre19 d’action 21 intitulé « Gestion écologique rationnelle des substances chimiques toxiques, y compris la préservation de trafic international illicite des produits toxiques et dangereux ».
Ce débat fait suite aux travaux de la commission des Affaires étrangères sur ce projet de la loi qui se sont déroulé les 12, 13, 16, 17, 18, 19, et 20 avril 2018 sous la présidence d’Emilie Béatrice Epaye, Présidente de la commission.