L’objectif principal de cette 3ème rencontre sur la Code électoral est d’obtenir des parties en présence, à savoir : pouvoirs publics, majorité présidentielle, opposition et société civile un compromis nécessaire autour de l’organe de gestion des élections adapté aux réalités centrafricaines. A cet effet, un Comité de concertation élargie à toutes les sensibilités politiques et la société civile a été mis en place afin de formuler des propositions dans le cadre de la nouvelle structure chargée de gérer les futurs scrutins. Selon le représentant de l’Organisation Internationale de la Francophonie, l’ancien Président burundais, Pierre Buyoya, ce 3ème atelier devra fixer les grandes lignes, l’ossature du prochain Code électoral, conformément à la Déclaration de Bamako focalisée sur le principe de fiabilité de crédibilité, d’équité et de la transparence. Durant les travaux les experts vont examiner les différents modules de l’organe de gestion des élections proposés à la fois par le Ministère de l’Administration du territoire et de la Décentralisation, les partis politiques tant de la majorité présidentielle que de l’opposition, la Société civile. De son côté, le Front pour l’Annulation et la Reprise des Eléctions de 2011 (FARE 2011) s’est seulement engagé sur la révision du Code électoral et non la Constitution de la République, qui ne doit pas être modifiée.
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