POLITIQUE
Centrafrique / Economie :
La célébration de cette journée offre l’opportunité à la République Centrafricaine en général et aux décideurs écologistes spécialistes en particulier intéressés par le riche potentiel touristique d’évaluer les activités déjà réalisées, de définir des nouvelles stratégies ou pour sensibiliser la population à travers des émissions et débats radio télévisés sur les différents secteurs touristiques qui sont les mamelles de l’économie centrafricaine.
Mme Yvonne Mboïssona, ministre en charge du Tourisme à dans son message prononcé à cette occasion, mis en évidence non seulement le caractère transversal de ce secteur, mais aussi l’aspect opulent du tourisme centrafricain à l’échelle internationale.
Mme Mboïssona a déclaré que « les principaux objectifs de la nouvelle politique du département visent essentiellement à faire du tourisme, un secteur économiquement dynamique, capable d’améliorer l’économie nationale ».
Elle a relevé que l’un des autres objectifs est d’augmenter la fréquentation des prestations à l’aéroport, ainsi que dans des établissements à caractère touristique, et préserver les ressources naturelles au bénéfice des générations présentes et futures.
Pour atteindre ces objectifs, la ministre du Tourisme a précisé trois stratégies notamment, la création des pôles d’attraction touristique à l’exemple des sites de Ngotto, Bayanga, Manovo gounda, Saint Floris et des zones cynégétiques, le développement du tourisme national et la diversification des produits touristiques (construction des palais de congrès) pour le tourisme de réunion ainsi que la construction d’infrastructures sportives à l’instar du stade de 20.000 places.
L’autre aspect de la politique du gouvernement développé par Mme Mboissona est le tourisme communautaire. Pour ce type de tourisme informel et le développement du parc hotelier elle a déclaré que les secteurs de chasses sont confiés aux populations riveraines pour exploitations. Les bénéfices tirés des activités permettent de réaliser les actions sociales (écoles, dispensaires, forages d’eau et des versements de pensions aux personnes séniles).
En ce qui concerne le secteur informel, a souscrit madame la ministre, le département en charge du tourisme et de l’artisanat poursuivra les initiatives de la Mairie de Bangui dans l’arrière pays au niveau des gares routières.
La célébration de cette journée offre l’opportunité à la République Centrafricaine en général et aux décideurs écologistes spécialistes en particulier intéressés par le riche potentiel touristique d’évaluer les activités déjà réalisées, de définir des nouvelles stratégies ou pour sensibiliser la population à travers des émissions et débats radio télévisés sur les différents secteurs touristiques qui sont les mamelles de l’économie centrafricaine.
Mme Yvonne Mboïssona, ministre en charge du Tourisme à dans son message prononcé à cette occasion, mis en évidence non seulement le caractère transversal de ce secteur, mais aussi l’aspect opulent du tourisme centrafricain à l’échelle internationale.
Mme Mboïssona a déclaré que « les principaux objectifs de la nouvelle politique du département visent essentiellement à faire du tourisme, un secteur économiquement dynamique, capable d’améliorer l’économie nationale ».
Elle a relevé que l’un des autres objectifs est d’augmenter la fréquentation des prestations à l’aéroport, ainsi que dans des établissements à caractère touristique, et préserver les ressources naturelles au bénéfice des générations présentes et futures.
Pour atteindre ces objectifs, la ministre du Tourisme a précisé trois stratégies notamment, la création des pôles d’attraction touristique à l’exemple des sites de Ngotto, Bayanga, Manovo gounda, Saint Floris et des zones cynégétiques, le développement du tourisme national et la diversification des produits touristiques (construction des palais de congrès) pour le tourisme de réunion ainsi que la construction d’infrastructures sportives à l’instar du stade de 20.000 places.
L’autre aspect de la politique du gouvernement développé par Mme Mboissona est le tourisme communautaire. Pour ce type de tourisme informel et le développement du parc hotelier elle a déclaré que les secteurs de chasses sont confiés aux populations riveraines pour exploitations. Les bénéfices tirés des activités permettent de réaliser les actions sociales (écoles, dispensaires, forages d’eau et des versements de pensions aux personnes séniles).
En ce qui concerne le secteur informel, a souscrit madame la ministre, le département en charge du tourisme et de l’artisanat poursuivra les initiatives de la Mairie de Bangui dans l’arrière pays au niveau des gares routières.
