A l'occasion de cette signature, M. Buti Kalé a indiqué que l'évènement aurait pu se tenir antérieurement, en avril 2018, avant le lancement effectif des opérations de rapatriement volontaire des réfugiés centrafricains vivant au Congo.
Seulement, a-t-il relevé, le désir ardent du retour dans leur pays d'origine, exprimé par les réfugiés centrafricains tant auprès des autorités congolaises que du HCR, a débouché sur la mise en place d'une procédure allégée, caractérisée par une lettre d'échange utilisée pour la circonstance et ayant facilité le rapatriement, à ce jour, d'environ 5.000 réfugiés centrafricains vivant au Congo.
L'accord tripartite est donc, selon M. Buti Kalé, un cadre juridique renforcé comprenant des dispositions plus détaillées, définissant les modalités pratiques d'encadrement et d'accélération des opérations de rapatriement volontaire de plus de 31.000 réfugiés centrafricains qui sont encore au Congo.
Au comble de la crise politico-militaire déclenchée par la rébellion de la Séléka au mois de mars 2013, de nombreux Centrafricains s'étaient réfugiés dans les pays limitrophes, parmi lesquels le Congo, où ils sont majoritairement cantonnés dans la province congolaise du Likouala (nord).
L'Accord de paix du 6 février dernier signé entre le gouvernement centrafricain et quatorze groupes armés actifs sur son territoire a été pour beaucoup dans le processus de pacification du pays, suscitant chez les réfugiés le désir de retourner dans leur pays d'origine, la République centrafricaine.
La signature mardi d'un accord tripartite entre les gouvernements congolais et centrafricain ainsi que le HCR est la troisième du genre, après celle du Cameroun le 29 juin dernier et celle du Congo Kinshasa le 5 juillet de la même année.
Seulement, a-t-il relevé, le désir ardent du retour dans leur pays d'origine, exprimé par les réfugiés centrafricains tant auprès des autorités congolaises que du HCR, a débouché sur la mise en place d'une procédure allégée, caractérisée par une lettre d'échange utilisée pour la circonstance et ayant facilité le rapatriement, à ce jour, d'environ 5.000 réfugiés centrafricains vivant au Congo.
L'accord tripartite est donc, selon M. Buti Kalé, un cadre juridique renforcé comprenant des dispositions plus détaillées, définissant les modalités pratiques d'encadrement et d'accélération des opérations de rapatriement volontaire de plus de 31.000 réfugiés centrafricains qui sont encore au Congo.
Au comble de la crise politico-militaire déclenchée par la rébellion de la Séléka au mois de mars 2013, de nombreux Centrafricains s'étaient réfugiés dans les pays limitrophes, parmi lesquels le Congo, où ils sont majoritairement cantonnés dans la province congolaise du Likouala (nord).
L'Accord de paix du 6 février dernier signé entre le gouvernement centrafricain et quatorze groupes armés actifs sur son territoire a été pour beaucoup dans le processus de pacification du pays, suscitant chez les réfugiés le désir de retourner dans leur pays d'origine, la République centrafricaine.
La signature mardi d'un accord tripartite entre les gouvernements congolais et centrafricain ainsi que le HCR est la troisième du genre, après celle du Cameroun le 29 juin dernier et celle du Congo Kinshasa le 5 juillet de la même année.