POLITIQUE
L’objectif de ce séminaire de deux jours avec les experts nationaux et internationaux est de mettre en lumière les enjeux de l’entretien routier et de renforcer les compétences des professionnels impliqués dans la gestion de l’entretien des routes.
Le gouvernement veut par sa politique de développement à travers la mise en œuvre du Projet d’urgence de rétablissement des infrastructures et de la connectivité en Centrafrique(PURIC), améliorer ce secteur afin de pallier le problème de désenclavement des zones stratégiques du pays et la stimulation de son développement socioéconomique.
« Il s’agit de chercher des voies et moyens pour réhabiliter et entretenir nos routes en vue d’ouvrir la voie au développement socioéconomique de notre pays à travers l’accès aux services sociaux de base, la création des emplois pour les jeunes et les femmes, la facilitation des échanges et d’assurer la sécurité de la population. Car, la route crée le développement, sans route, il n’y a point de développement. » A indiqué Eric Rokosse Kamot, ministre de l’équipement et des travaux publics.
Par conséquent, la question de durabilité des investissements est le point d’orgue de cette activité organisée par le gouvernement. Selon le responsable du ministère de l’équipement et des travaux publics, cette activité vient à point nommé pour poser les bases de réflexion pour trouver des solutions durables aux difficultés de ce secteur.
Plus de 300 millions de dollars américains sont octroyés par la Banque Mondiale dans le secteur routier pour financer deux projets, à savoir le Projet d’urgence de rétablissement des infrastructures et de la connectivité en Centrafrique(PURIC) et le projet PRACAC, a affirmé le représentant de la Banque Mondiale en Centrafrique Guido Rurwanga.
Il convient e noter que cet évènement a mobilisé tous les acteurs du secteur publics et privés concernés par la gestion, l’entretien et le financement de la route, ainsi que les partenaires au développement en République Centrafricaine.
Le gouvernement veut par sa politique de développement à travers la mise en œuvre du Projet d’urgence de rétablissement des infrastructures et de la connectivité en Centrafrique(PURIC), améliorer ce secteur afin de pallier le problème de désenclavement des zones stratégiques du pays et la stimulation de son développement socioéconomique.
« Il s’agit de chercher des voies et moyens pour réhabiliter et entretenir nos routes en vue d’ouvrir la voie au développement socioéconomique de notre pays à travers l’accès aux services sociaux de base, la création des emplois pour les jeunes et les femmes, la facilitation des échanges et d’assurer la sécurité de la population. Car, la route crée le développement, sans route, il n’y a point de développement. » A indiqué Eric Rokosse Kamot, ministre de l’équipement et des travaux publics.
Par conséquent, la question de durabilité des investissements est le point d’orgue de cette activité organisée par le gouvernement. Selon le responsable du ministère de l’équipement et des travaux publics, cette activité vient à point nommé pour poser les bases de réflexion pour trouver des solutions durables aux difficultés de ce secteur.
Plus de 300 millions de dollars américains sont octroyés par la Banque Mondiale dans le secteur routier pour financer deux projets, à savoir le Projet d’urgence de rétablissement des infrastructures et de la connectivité en Centrafrique(PURIC) et le projet PRACAC, a affirmé le représentant de la Banque Mondiale en Centrafrique Guido Rurwanga.
Il convient e noter que cet évènement a mobilisé tous les acteurs du secteur publics et privés concernés par la gestion, l’entretien et le financement de la route, ainsi que les partenaires au développement en République Centrafricaine.
