POLITIQUE
L’objectif de ce communiqué de presse est de situer l’opinion nationale et internationale sur la position des forces de défense et de sécurité face à la déclaration de monsieur Alexandre Ferdinand Nguendet du 1er juin 2023.
Les officiers généraux des forces de défense et de sécurité démentent formellement que les propos irresponsables de monsieur Alexandre Ferdinand Nguendet sont des manœuvres politiques qui a pour but de susciter la haine, de déstabiliser l’équilibre socio-économique et politique de la République Centrafricaine.
« Ce discours irresponsable constitue pour les Forces de Défense et de Sécurité une atteinte à la démocratie, une incitation à la rébellion, un recours à la violence et un non-respect des droits humain en République Centrafricaine » a indiqué le communiqué.
Le communiqué précise que dans le contexte de la déclaration de monsieur Alexandre Ferdinand Nguendet, les officiers généraux des forces de défense et de sécurité rejettent qu’ils ne lui ont fait aucun appel de soutien pour son entreprise de putsch du 1er juillet 2023.
« Sa déclaration du 1er juin 2023, selon la notion de défense nationale, est une menace majeure contre l’Etat Centrafricain et son intégrité territoriale ainsi que contre la forme actuelle des institutions dans laquelle la souveraineté appartient au peuple » a indiqué le communiqué.
Les officiers généraux des forces de défense et de sécurité tiennent à rappeler qu’ils soutiennent les efforts de paix et de sécurité du président de la république, le Professeur Faustin Archange Touadera, chef suprême des armées.
A cet effet, les officiers généraux des forces de défense et de sécurité demandent à la population centrafricaine de rester calme car ils contrôlent la situation.
Pour finir, le conclave des officiers généraux a déclaré qu’ils prendront des dispositions qui s’imposent et se réservent le droit de poursuivre monsieur Alexandre Ferdinand Nguendet devant la justice.
Il est à noter que d’ores et déjà, des investigations sont en cours pour établir les responsabilités des auteurs, co-auteurs et complices de monsieur Alexandre Ferdinand Nguendet afin que ceux-ci puissent répondre de leurs actes.
Les officiers généraux des forces de défense et de sécurité démentent formellement que les propos irresponsables de monsieur Alexandre Ferdinand Nguendet sont des manœuvres politiques qui a pour but de susciter la haine, de déstabiliser l’équilibre socio-économique et politique de la République Centrafricaine.
« Ce discours irresponsable constitue pour les Forces de Défense et de Sécurité une atteinte à la démocratie, une incitation à la rébellion, un recours à la violence et un non-respect des droits humain en République Centrafricaine » a indiqué le communiqué.
Le communiqué précise que dans le contexte de la déclaration de monsieur Alexandre Ferdinand Nguendet, les officiers généraux des forces de défense et de sécurité rejettent qu’ils ne lui ont fait aucun appel de soutien pour son entreprise de putsch du 1er juillet 2023.
« Sa déclaration du 1er juin 2023, selon la notion de défense nationale, est une menace majeure contre l’Etat Centrafricain et son intégrité territoriale ainsi que contre la forme actuelle des institutions dans laquelle la souveraineté appartient au peuple » a indiqué le communiqué.
Les officiers généraux des forces de défense et de sécurité tiennent à rappeler qu’ils soutiennent les efforts de paix et de sécurité du président de la république, le Professeur Faustin Archange Touadera, chef suprême des armées.
A cet effet, les officiers généraux des forces de défense et de sécurité demandent à la population centrafricaine de rester calme car ils contrôlent la situation.
Pour finir, le conclave des officiers généraux a déclaré qu’ils prendront des dispositions qui s’imposent et se réservent le droit de poursuivre monsieur Alexandre Ferdinand Nguendet devant la justice.
Il est à noter que d’ores et déjà, des investigations sont en cours pour établir les responsabilités des auteurs, co-auteurs et complices de monsieur Alexandre Ferdinand Nguendet afin que ceux-ci puissent répondre de leurs actes.
