POLITIQUE
Au cours de cette cérémonie, le diplomate américain a rappelé le long parcours des Etats Unis dans la quête de la liberté et l’ambition de ce pays, après son indépendance, de bâtir un pays démocratique, respectueux des droits fondamentaux un gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple.
L’ambassadeur des Etats Unis, Laurence Wohlers a ensuite exalté l’efficacité des relations existant entre son pays et la République Centrafricaine depuis cinquante années et s’est dit heureux de lancer le retour de La voix de l’Amérique en Centrafrique, station qui selon lui va proposer un programme diversifié aux auditeurs centrafricains.
‘’ Il est vrai que nos deux pays sont géographiquement loin l’un de l’autre, mais nous avons des liens personnels solides.’’, a-t-il déclaré.
Le ministre centrafricain des Affaires étrangères, Antoine Gambi a lui aussi loué ‘’l’amitié exemplaire’’ qui caractérise les relations entre la Centrafrique et les USA depuis cinquante ans avant de se féliciter de la signature par le président américain, Barack Obama, de la loi sur le désarmement et l’éradication de la LRA.
‘’ Notre vœu le plus cher à présent est que l’administration américaine se penche plus particulièrement sur le cas de la RCA, pays post conflit qui a plus besoin de l’assistance américaine ; puisque le danger que représente la LRA s’est transposé sur le sol centrafricain’’, a souhaité le chef de la diplomatie centrafricaine Antoine Gambi.
L’ambassadeur des Etats Unis, Laurence Wohlers a ensuite exalté l’efficacité des relations existant entre son pays et la République Centrafricaine depuis cinquante années et s’est dit heureux de lancer le retour de La voix de l’Amérique en Centrafrique, station qui selon lui va proposer un programme diversifié aux auditeurs centrafricains.
‘’ Il est vrai que nos deux pays sont géographiquement loin l’un de l’autre, mais nous avons des liens personnels solides.’’, a-t-il déclaré.
Le ministre centrafricain des Affaires étrangères, Antoine Gambi a lui aussi loué ‘’l’amitié exemplaire’’ qui caractérise les relations entre la Centrafrique et les USA depuis cinquante ans avant de se féliciter de la signature par le président américain, Barack Obama, de la loi sur le désarmement et l’éradication de la LRA.
‘’ Notre vœu le plus cher à présent est que l’administration américaine se penche plus particulièrement sur le cas de la RCA, pays post conflit qui a plus besoin de l’assistance américaine ; puisque le danger que représente la LRA s’est transposé sur le sol centrafricain’’, a souhaité le chef de la diplomatie centrafricaine Antoine Gambi.
