L’objectif du forum de Brazzaville est de jeter les fondements du processus de réconciliation nationale dont les centrafricains doivent être eux-mêmes les acteurs principaux.
Aux dires du représentant spécial du Secrétaire général, Abdoulaye Bathily, les pourparlers de Brazzaville seront axés beaucoup plus sur la signature d’un accord sur l’arrêt de la violence, l’engagement de toutes les parties en conflit au dialogue, la mise en place d’un dispositif qui prévoit la remise et les consignes des armes dans des stocks sous contrôle, le rassemblement et l'identification des combattants qui seront orientés vers des projets, des programmes des travaux à haute intensité de main d’œuvres.
Dans cette perspective du forum de Brazzaville, les bailleurs de fonds devraient être organisés pour la prise en charge des ex-combattants et le financement des programmes de stabilisation et de reconstruction, a fait savoir M.Bathily..
Le représentant spécial a estimé pour sa part qu’« il est utile, dans ce genre de situation que traversse le pays, que les acteurs nationaux se parlent, mais aussi que les acteurs internationaux appuient ce processus ».
Il a réitéré l’engagement des Nations-Unies à poursuivre son assistance à la République Centrafricaine, notamment à travers la MINUSCA, avant de remercier les pays de la sous région qui interviennent dans la crise centrafricaine.
Enfin, il a encouragé « l’esprit de dépassement noté depuis quelques temps », souhaitant véritablement que le forum de Brazzaville se tienne dans les conditions qui permettent de donner une nouvelle impulsion à ce processus qui a déjà commencé.
Cette conférence de presse a été co-animée par le Représentant Spécial de l’Union Africaine, Chef de la Mission Internationale de soutien En Centrafrique (MISCA) le général Jean-Marie Michel Mokoko et l’ancien ministre malien de la Défense, Souleymane Boubeye Maïga, représentant des Nations-Unies et de l’Union Africaine auprès de la Médiation internationale de la crise en République Centrafricaine.
Aux dires du représentant spécial du Secrétaire général, Abdoulaye Bathily, les pourparlers de Brazzaville seront axés beaucoup plus sur la signature d’un accord sur l’arrêt de la violence, l’engagement de toutes les parties en conflit au dialogue, la mise en place d’un dispositif qui prévoit la remise et les consignes des armes dans des stocks sous contrôle, le rassemblement et l'identification des combattants qui seront orientés vers des projets, des programmes des travaux à haute intensité de main d’œuvres.
Dans cette perspective du forum de Brazzaville, les bailleurs de fonds devraient être organisés pour la prise en charge des ex-combattants et le financement des programmes de stabilisation et de reconstruction, a fait savoir M.Bathily..
Le représentant spécial a estimé pour sa part qu’« il est utile, dans ce genre de situation que traversse le pays, que les acteurs nationaux se parlent, mais aussi que les acteurs internationaux appuient ce processus ».
Il a réitéré l’engagement des Nations-Unies à poursuivre son assistance à la République Centrafricaine, notamment à travers la MINUSCA, avant de remercier les pays de la sous région qui interviennent dans la crise centrafricaine.
Enfin, il a encouragé « l’esprit de dépassement noté depuis quelques temps », souhaitant véritablement que le forum de Brazzaville se tienne dans les conditions qui permettent de donner une nouvelle impulsion à ce processus qui a déjà commencé.
Cette conférence de presse a été co-animée par le Représentant Spécial de l’Union Africaine, Chef de la Mission Internationale de soutien En Centrafrique (MISCA) le général Jean-Marie Michel Mokoko et l’ancien ministre malien de la Défense, Souleymane Boubeye Maïga, représentant des Nations-Unies et de l’Union Africaine auprès de la Médiation internationale de la crise en République Centrafricaine.