Cette conférence de presse est une opportunité du leader d’opinion Mandata Nguérékata de rendre publique sa prise de position relative aux décisions finales du congrès de la Séléka parmi lesquelles se situe la mise en place d’une administration dans les parties du pays sous contrôles, signe avant-coureurs de la partition de la République Centrafricaine.
D’après ses analyses, M. Gaston Mandata Nguérékata a fait observer qu’une partition de la République Centrafricaine mettrait la Communauté Economique et Monétaires des Etats de l’Afrique Centrale (CEMAC) en difficulté et présagerait d’autres rebelles dans la sous région et envisager la partition de tous les pays de la CEMAC, d’où l’éclatement de la communauté.
Gaston Mandata Nguérékata a qualifié la « situation d’inédite » puisque dans le même pays coexistent deux états majors des armées. Faisant allusion de la mise en place de l'Etat Major des Séléka à Bangui.
De cette considération, M. Mandata Nguérékata craint qu’avec l’institution d’une aile politique, la Séléka est en mesure d’asseoir un contrôle administratif et militaire de la zone à dominance musulmane, notamment les localités du nord, nord-est et du centre-est.
Il a déploré les difficultés du gouvernement à réagir devant un tel dispositif.
D’après ses analyses, M. Gaston Mandata Nguérékata a fait observer qu’une partition de la République Centrafricaine mettrait la Communauté Economique et Monétaires des Etats de l’Afrique Centrale (CEMAC) en difficulté et présagerait d’autres rebelles dans la sous région et envisager la partition de tous les pays de la CEMAC, d’où l’éclatement de la communauté.
Gaston Mandata Nguérékata a qualifié la « situation d’inédite » puisque dans le même pays coexistent deux états majors des armées. Faisant allusion de la mise en place de l'Etat Major des Séléka à Bangui.
De cette considération, M. Mandata Nguérékata craint qu’avec l’institution d’une aile politique, la Séléka est en mesure d’asseoir un contrôle administratif et militaire de la zone à dominance musulmane, notamment les localités du nord, nord-est et du centre-est.
Il a déploré les difficultés du gouvernement à réagir devant un tel dispositif.