Le but de cette condamnation est de compatir aux douleurs des familles affligées et de mettre en garde les acteurs de ces actes criminels pour que de tels actes ne se répètent plus.
Le Premier ministre a déploré le fait « qu’à l’est, des ex-Séléka en rupture de bande dans leur propre camp, pillent, volent et violent dans plusieurs villes, Alindao, Kouango, etc. à Bangui, par contre, des criminels mutilent sauvagement les cadavres de leurs victimes, tandis que d’autres tirent sur des bâtiments religieux et massacrent à l’arme lourde de paisibles citoyens en détresse ».
Il a déploré qu’à « chaque fois qu’une certaine accalmie se manifeste dans le pays, les ennemis de la nation commettent les crimes les plus odieux pour réduire à néant l’effet des efforts consentis par les citoyens et par le gouvernement et ce, afin d’entretenir l’insécurité, empêcher la relance économique et retarder le retour des déplacés internes à leurs domiciles ».
Le Premier ministre a par ailleurs indexé « les antibalaka d’un côté et par les ex-Séléka de l’autre qui ont pris en otage le peuple centrafricain ».
Pour lui donc, il est hors de question « d’utiliser la religion pour perpétuer les crimes les plus atroces et qui prétendent tuer les uns pour protéger les autres. Un criminel est un criminel. Il ne doit pas être traité par rapport à une religion donnée ».
En termes de début de solution, en attendant la restructuration des forces de défense et de sécurité, André Nzapayéké a donné « mandat aux forces internationales de l’opération militaire française Sangaris, de la Mission Internationale de Soutien à la Centrafrique (MISCA) et aux forces européennes de l’Eufor de ratisser les quartiers de Bangui et les régions des préfectures qui servent de zones de non-droit aux criminels de tous bords ».
Afin d’atteindre le résultat escompté, le Premier ministre a exhorté les citoyens à « aider les forces de l’ordre, en signalant aux autorités la présence de personnes suspectes dans les quartiers ou de personnes portant de faux brassards de la MISCA ; à accepter les contrôles, les fouilles corporels et les fouilles dans les maisons ».
D’autres mesures de sécurité préconisées par le Premier ministre consistent « à dénoncer les criminels qui se cachent dans les quartiers ; à pas se promener en public avec un sac à dos, un sac tout court ou avec un sachet en plastique ».
André Nzapayéké mise sérieusement sur « la qualité de l’information que chacun des citoyens pourra mettre à la disposition des forces de l’ordre afin de lutter contre la criminalité ».
Il a émis le vœu que soient mis à contribution « les chefs de quartiers, les chefs de groupe et les maires d’arrondissement, ainsi que les parent devant reprendre en main l’encadrement moral et l’éducation de leurs enfants ».
Le Premier ministre a déploré le fait « qu’à l’est, des ex-Séléka en rupture de bande dans leur propre camp, pillent, volent et violent dans plusieurs villes, Alindao, Kouango, etc. à Bangui, par contre, des criminels mutilent sauvagement les cadavres de leurs victimes, tandis que d’autres tirent sur des bâtiments religieux et massacrent à l’arme lourde de paisibles citoyens en détresse ».
Il a déploré qu’à « chaque fois qu’une certaine accalmie se manifeste dans le pays, les ennemis de la nation commettent les crimes les plus odieux pour réduire à néant l’effet des efforts consentis par les citoyens et par le gouvernement et ce, afin d’entretenir l’insécurité, empêcher la relance économique et retarder le retour des déplacés internes à leurs domiciles ».
Le Premier ministre a par ailleurs indexé « les antibalaka d’un côté et par les ex-Séléka de l’autre qui ont pris en otage le peuple centrafricain ».
Pour lui donc, il est hors de question « d’utiliser la religion pour perpétuer les crimes les plus atroces et qui prétendent tuer les uns pour protéger les autres. Un criminel est un criminel. Il ne doit pas être traité par rapport à une religion donnée ».
En termes de début de solution, en attendant la restructuration des forces de défense et de sécurité, André Nzapayéké a donné « mandat aux forces internationales de l’opération militaire française Sangaris, de la Mission Internationale de Soutien à la Centrafrique (MISCA) et aux forces européennes de l’Eufor de ratisser les quartiers de Bangui et les régions des préfectures qui servent de zones de non-droit aux criminels de tous bords ».
Afin d’atteindre le résultat escompté, le Premier ministre a exhorté les citoyens à « aider les forces de l’ordre, en signalant aux autorités la présence de personnes suspectes dans les quartiers ou de personnes portant de faux brassards de la MISCA ; à accepter les contrôles, les fouilles corporels et les fouilles dans les maisons ».
D’autres mesures de sécurité préconisées par le Premier ministre consistent « à dénoncer les criminels qui se cachent dans les quartiers ; à pas se promener en public avec un sac à dos, un sac tout court ou avec un sachet en plastique ».
André Nzapayéké mise sérieusement sur « la qualité de l’information que chacun des citoyens pourra mettre à la disposition des forces de l’ordre afin de lutter contre la criminalité ».
Il a émis le vœu que soient mis à contribution « les chefs de quartiers, les chefs de groupe et les maires d’arrondissement, ainsi que les parent devant reprendre en main l’encadrement moral et l’éducation de leurs enfants ».