POLITIQUE
Cet appel a pour objectif d’inciter les travailleurs à reprendre le chemin de leur lieu de travail afin de redonner vie à la capitale centrafricaine après les moments troubles qui ont suivis le carnage perpétré dans l’enceinte même de la paroisse Notre Dame des Fatima le 28 mai dernier par un groupe d’hommes armés.
« Je demande aux travailleurs de reprendre le travail demain lundi 2 juin 2014. Les enfants doivent retrouver le chemin de l’école, les étudiants doivent retrouver le chemin de l’université », a déclaré le Premier ministre.
Il a par ailleurs fait remarqué que « la place de nos enfants n’est pas dans la rue, la place de nos travailleurs n’est pas dans la rue ». C’est pourquoi il a demandé aux jeunes notamment « de ne pas compromettre leur avenir ».
Evoquant le désarmement, le Premier ministre a fait savoir que « le désarmement sur l’ensemble du territoire national en est une des conditions essentielles pour la paix ». Il a saisi l’opportunité pour intimer l’ordre aux policiers, gendarmes et militaires « de regagner les camps dès lundi 2 juin 2014 et d’éviter de compromettre l’avenir de l’armée aux yeux de la population nationale et aux yeux de la communauté internationale ». Il leur a également demandé qu’à cette occasion, ils devront « déclarer à leur chef hiérarchique les armes qu’ils détiennent ».
Une campagne de désarmement volontaire a été instituée par le gouvernement qui a choisi la date du dimanche 8 mai 2014. Pour parvenir à cette fin, le Premier ministre a mis à contribution les chefs de quartier et les maires d’arrondissement.
Le Premier ministre s’est élevé contre « les manifestations publiques irrégulières, lesquelles manifestations, selon lui, sont réglementées par la loi ». Il a appelé les forces de défense et de sécurité à veiller sur ce volet.
« Je demande aux travailleurs de reprendre le travail demain lundi 2 juin 2014. Les enfants doivent retrouver le chemin de l’école, les étudiants doivent retrouver le chemin de l’université », a déclaré le Premier ministre.
Il a par ailleurs fait remarqué que « la place de nos enfants n’est pas dans la rue, la place de nos travailleurs n’est pas dans la rue ». C’est pourquoi il a demandé aux jeunes notamment « de ne pas compromettre leur avenir ».
Evoquant le désarmement, le Premier ministre a fait savoir que « le désarmement sur l’ensemble du territoire national en est une des conditions essentielles pour la paix ». Il a saisi l’opportunité pour intimer l’ordre aux policiers, gendarmes et militaires « de regagner les camps dès lundi 2 juin 2014 et d’éviter de compromettre l’avenir de l’armée aux yeux de la population nationale et aux yeux de la communauté internationale ». Il leur a également demandé qu’à cette occasion, ils devront « déclarer à leur chef hiérarchique les armes qu’ils détiennent ».
Une campagne de désarmement volontaire a été instituée par le gouvernement qui a choisi la date du dimanche 8 mai 2014. Pour parvenir à cette fin, le Premier ministre a mis à contribution les chefs de quartier et les maires d’arrondissement.
Le Premier ministre s’est élevé contre « les manifestations publiques irrégulières, lesquelles manifestations, selon lui, sont réglementées par la loi ». Il a appelé les forces de défense et de sécurité à veiller sur ce volet.
