POLITIQUE
Pr. Georges Yaya a indiqué d’une manière schématique, qu’il y a deux catégories de la maladie de la vue, à savoir les maladies congénitales qui sont présentes dès la naissance et les maladies acquises qui sont issues de l’âge où d’autres infections.
« L’une des maladies oculaires la plus répondue et la première cause de la cécité curable dans le monde est la cataracte estimée à 50% des cas de cécité », a révélé Pr. Yaya.
Le responsable du service d’ophtalmologie du CHUB, a conseillé que toute personne soit consultée par un médecin spécialiste avant de procurer d’un verre médical surtout chez les enfants.
Selon le Chef service ophtalmologique du CHUB, certaines pathologies oculaires dues à la malvoyance ne sont pas nécessaires pour une correction optique, par contre d’autres les sont, mais il faut que le patient soit d’abord traité avant qu’on lui prescrive des verres correcteurs.
Pr. Georges Yaya a saisi cette occasion pour faire savoir que son centre éprouve des difficultés qui empêchent le bon fonctionnement dudit centre entre autres manque d’infrastructures adaptées à la diversité des activités offertes, l’insuffisance en ressources humaines et l’absence d’équipement adéquat.
Il convient de signaler que le centre d’ophtalmologie a vu le jour en 1952 à l’époque de l’Hôpital Général de Bangui (HGB) qui est devenu le Centre Hospitalier Universitaire de Bangui (CHUB), et ses activités se situent sur trois axes, à savoir la consultation ophtalmologique, les soins et la chirurgie oculaires, avec trois ophtamologistes.
« L’une des maladies oculaires la plus répondue et la première cause de la cécité curable dans le monde est la cataracte estimée à 50% des cas de cécité », a révélé Pr. Yaya.
Le responsable du service d’ophtalmologie du CHUB, a conseillé que toute personne soit consultée par un médecin spécialiste avant de procurer d’un verre médical surtout chez les enfants.
Selon le Chef service ophtalmologique du CHUB, certaines pathologies oculaires dues à la malvoyance ne sont pas nécessaires pour une correction optique, par contre d’autres les sont, mais il faut que le patient soit d’abord traité avant qu’on lui prescrive des verres correcteurs.
Pr. Georges Yaya a saisi cette occasion pour faire savoir que son centre éprouve des difficultés qui empêchent le bon fonctionnement dudit centre entre autres manque d’infrastructures adaptées à la diversité des activités offertes, l’insuffisance en ressources humaines et l’absence d’équipement adéquat.
Il convient de signaler que le centre d’ophtalmologie a vu le jour en 1952 à l’époque de l’Hôpital Général de Bangui (HGB) qui est devenu le Centre Hospitalier Universitaire de Bangui (CHUB), et ses activités se situent sur trois axes, à savoir la consultation ophtalmologique, les soins et la chirurgie oculaires, avec trois ophtamologistes.
