L’objectif de cette célébration, placée sous le signe de la coopération internationale, est de faire le point des réalisations initiées par le Ministère des Transports et de l’Aviation civile, d’envisager des mesures et des actions à mener dans le futur.
Avec la crise que connaît la République Centrafricaine, le Ministre des Transports et de l’Aviation civile a exprimé sa compassion « aux milliers des Centrafricains vivant à Bangui et dans ses environs qui, en fuyant la violence, se sont réfugiés, entre autres, dans la zone de l’emprise aéroportuaire de Bangui-Mpoko, - la seule plate-forme aéroportuaire internationale de la République Centrafricaine ».
Toutefois, il a déploré le risque d’un drame qui pourrait toucher toutes ces personnes déplacées à la suite « d’une simple sortie de piste des aéronefs qui atterrissent ou qui décollent, surtout que ces personnes vont et viennent sur des espaces réservés, allant parfois jusqu’à travers la piste d’atterrissage ou commettant des actes de vandalisme contre les installations et équipements aéroportuaires et d’aide à la navigation aérienne venaient à quitter la piste ».
En sa qualité de Ministre en charge des Transports, M. Abazène est convaincu que la République Centrafricaine est dépourvue de littoral maritime. D’où la nécessité de son désenclavement devant reposer sur « la mise en place d’un système de transport intégré, qui pourra permettre à ce pays de communiquer avec l’extérieur et échanger avec les partenaires commerciaux ».
D’où sa formule selon laquelle « le transport aérien et donc l’aviation civile est un des maillons importants de la chaîne de transport multi-mondial que notre pays se doit de créer en vue de son développement ».
Malgré la crise que traverse la République Centrafricaine, le Ministre des Transports et de l’Aviation civile a fait savoir que les autorités de la transition ne sont pas collées à leurs oreillers. C’est ainsi qu’il a fait mention des journées de réflexion sur l’apport des transports dans le développement économique et social de la République Centrafricaine ; la poursuite de l’opérationnalité de l’Autorité Nationale de l’Aviation Civile de la République Centrafricaine (ANAC-C) ; l’élaboration et/ou l’actualisation des textes réglementaires, au rang desquels le Code de l’aviation civile en République Centrafricaine, les règlements d’aviation civile (RAC).
A côté de ces actions, il y a également la signature de deux conventions de cofinancement avec la Banque de Développement de l’Afrique Centrale (BDEAC) et l’Agence Française pour le Développement (AFD) pour les travaux de la clôture de l’aéroport internationale Bangui-Mpoko et la formation de plusieurs cadres du département à l’étranger.
Il faut rappeler que le 7 décembre 1944, avant même la fin de la Deuxième Guerre mondiale, 54 pays s’étaient réunis à Chicago aux Etats-Unis d’Amérique pour signer la Convention relative à l’aviation civile internationale. De facto, cette convention a pris le nom de ‘Convention de Chicago’, base même de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI), dont le siège est à Montréal au Canada.
En 1994, à l’occasion du 50ème anniversaire de la signature de la Convention, l’assemblée générale des Nations Unies a décidé, par sa résolution 51/33, de consacrer le 7 décembre de chaque année à la célébration d’une journée dédiée à l’aviation civile. D’où la naissance de la Journée mondiale de l’Aviation civile, dont la première fut célébrée en 1996.
Avec la crise que connaît la République Centrafricaine, le Ministre des Transports et de l’Aviation civile a exprimé sa compassion « aux milliers des Centrafricains vivant à Bangui et dans ses environs qui, en fuyant la violence, se sont réfugiés, entre autres, dans la zone de l’emprise aéroportuaire de Bangui-Mpoko, - la seule plate-forme aéroportuaire internationale de la République Centrafricaine ».
Toutefois, il a déploré le risque d’un drame qui pourrait toucher toutes ces personnes déplacées à la suite « d’une simple sortie de piste des aéronefs qui atterrissent ou qui décollent, surtout que ces personnes vont et viennent sur des espaces réservés, allant parfois jusqu’à travers la piste d’atterrissage ou commettant des actes de vandalisme contre les installations et équipements aéroportuaires et d’aide à la navigation aérienne venaient à quitter la piste ».
En sa qualité de Ministre en charge des Transports, M. Abazène est convaincu que la République Centrafricaine est dépourvue de littoral maritime. D’où la nécessité de son désenclavement devant reposer sur « la mise en place d’un système de transport intégré, qui pourra permettre à ce pays de communiquer avec l’extérieur et échanger avec les partenaires commerciaux ».
D’où sa formule selon laquelle « le transport aérien et donc l’aviation civile est un des maillons importants de la chaîne de transport multi-mondial que notre pays se doit de créer en vue de son développement ».
Malgré la crise que traverse la République Centrafricaine, le Ministre des Transports et de l’Aviation civile a fait savoir que les autorités de la transition ne sont pas collées à leurs oreillers. C’est ainsi qu’il a fait mention des journées de réflexion sur l’apport des transports dans le développement économique et social de la République Centrafricaine ; la poursuite de l’opérationnalité de l’Autorité Nationale de l’Aviation Civile de la République Centrafricaine (ANAC-C) ; l’élaboration et/ou l’actualisation des textes réglementaires, au rang desquels le Code de l’aviation civile en République Centrafricaine, les règlements d’aviation civile (RAC).
A côté de ces actions, il y a également la signature de deux conventions de cofinancement avec la Banque de Développement de l’Afrique Centrale (BDEAC) et l’Agence Française pour le Développement (AFD) pour les travaux de la clôture de l’aéroport internationale Bangui-Mpoko et la formation de plusieurs cadres du département à l’étranger.
Il faut rappeler que le 7 décembre 1944, avant même la fin de la Deuxième Guerre mondiale, 54 pays s’étaient réunis à Chicago aux Etats-Unis d’Amérique pour signer la Convention relative à l’aviation civile internationale. De facto, cette convention a pris le nom de ‘Convention de Chicago’, base même de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI), dont le siège est à Montréal au Canada.
En 1994, à l’occasion du 50ème anniversaire de la signature de la Convention, l’assemblée générale des Nations Unies a décidé, par sa résolution 51/33, de consacrer le 7 décembre de chaque année à la célébration d’une journée dédiée à l’aviation civile. D’où la naissance de la Journée mondiale de l’Aviation civile, dont la première fut célébrée en 1996.