Théodore Jousso a expliqué que le gouvernement réaffirme son appui à l’action de la Mission multidimensionnelle Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation en République Centrafricaine (MINUSCA, dont les forces ont stoppé, samedi 11 février, une colonne du Front Populaire pour la Renaissance de Centrafrique (FPRC) faisant route vers Bambari.
C’est pour protéger les populations civiles contre le risque d’extension de ces affrontements violents dans la ville de Bambari que la MINUSCA, conformément à son mandat de protéger les populations civiles, a fait usage de son hélicoptère de combat afin de stopper la conne de véhicules du FPRC, a-t-il souligné.
Le gouvernement déplore cette situation qui n’aurait pas eu lieu si les combattants concernés étaient rentrées dans le processus du Désarmement, de Démobilisation, de Réinsertion et du Rapatriement (DDRR), a-t-il ajouté.
Selon lui, cette intervention a permis d’éviter l’embrasement de la ville de Bambari, entraînant des conséquences dramatiques sur les populations civiles.
Il convient de rappeler que c’est depuis plusieurs mois que des combats opposent le FPRC, dirigé par Noureldine Adam et le Mouvement pour l’Unité et la Paix en Centrafrique (UPC) d’Ali Daras, tous deux issus de l’ex-coalition Séléka, qui contrôlent les préfectures de la Haute-Kotto et de la Ouaka.
C’est pour protéger les populations civiles contre le risque d’extension de ces affrontements violents dans la ville de Bambari que la MINUSCA, conformément à son mandat de protéger les populations civiles, a fait usage de son hélicoptère de combat afin de stopper la conne de véhicules du FPRC, a-t-il souligné.
Le gouvernement déplore cette situation qui n’aurait pas eu lieu si les combattants concernés étaient rentrées dans le processus du Désarmement, de Démobilisation, de Réinsertion et du Rapatriement (DDRR), a-t-il ajouté.
Selon lui, cette intervention a permis d’éviter l’embrasement de la ville de Bambari, entraînant des conséquences dramatiques sur les populations civiles.
Il convient de rappeler que c’est depuis plusieurs mois que des combats opposent le FPRC, dirigé par Noureldine Adam et le Mouvement pour l’Unité et la Paix en Centrafrique (UPC) d’Ali Daras, tous deux issus de l’ex-coalition Séléka, qui contrôlent les préfectures de la Haute-Kotto et de la Ouaka.