Le but de cette audience est de permettre au Procureur Spécial d’échanger avec le Président de l’Assemblée nationale et les membres du bureau afin d’avoir leurs points de vue la situation qui a prévalu avant, pendant et après la crise centrafricaine.
A l'issue de l'audience, Toussaint Mutazini Mukimapa a déclaré que sa venue en République Centrafricaine permet d’accélérer le processus de mise en place des organes de la cour pénale spéciale.
Il a indiqué qu’il y a une volonté très forte du peuple centrafricain de ne pas pardonner les crimes graves qui ont été commis en République Centrafricaine.
Il a par ailleurs réitéré la ferme volonté des Centrafricains de ne pas amnistier des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité qui ont été commis dans le pays.
«Les défis sécuritaires peuvent compromettre les enquêtes sur le terrain, mais la Cour Pénale Spéciale est en Centrafrique pour affronter tous ces défis », a-t-il souligné.
Il convient de signaler que le Procureur spécial, Toussaint Mutazini Mukimapa, a déjà rencontré les plus hautes autorités centrafricaines dans le cadre de sa prise de fonction à la tête de la CPS, créée en juin 2015 et appelée à juger les graves crimes commis en République Centrafricaine depuis 2003.
A l'issue de l'audience, Toussaint Mutazini Mukimapa a déclaré que sa venue en République Centrafricaine permet d’accélérer le processus de mise en place des organes de la cour pénale spéciale.
Il a indiqué qu’il y a une volonté très forte du peuple centrafricain de ne pas pardonner les crimes graves qui ont été commis en République Centrafricaine.
Il a par ailleurs réitéré la ferme volonté des Centrafricains de ne pas amnistier des crimes de guerre, des crimes contre l’humanité qui ont été commis dans le pays.
«Les défis sécuritaires peuvent compromettre les enquêtes sur le terrain, mais la Cour Pénale Spéciale est en Centrafrique pour affronter tous ces défis », a-t-il souligné.
Il convient de signaler que le Procureur spécial, Toussaint Mutazini Mukimapa, a déjà rencontré les plus hautes autorités centrafricaines dans le cadre de sa prise de fonction à la tête de la CPS, créée en juin 2015 et appelée à juger les graves crimes commis en République Centrafricaine depuis 2003.