Faustin-Archange Touadéra a expliqué qu’en signant ce livre de condoléance, il a voulu partager la peine des fidèles catholiques du diocèse de Bambari en particulier et ceux de Centrafrique, en général.
Il a souligné que le regretté était un homme épris de paix qui a beaucoup prêché la paix, la cohésion sociale, le vivre ensemble et la solidarité, en dépit de son fragile état de santé.
Selon lui, la perte du prélat n’a pas seulement affecté la population de Bambari à qui il a autorisé l’accès des paroisses aux personnes déplacées internes, mais aussi ceux qui l’ont côtoyé.
De son coté, le Cardinal Dieudonné Nzapalaïnga a noté qu’au moment où l’église catholique est en deuil, le premier responsable de ce pays est venu les réconforter et leur témoigner sa sympathie et sa proximité.
"La mort est un passage obligé pour permettre aux humains de quitter ce monde pour l’au-delà et que la mort des autres devrait nous aider à réfléchir sur notre propre mort", a-t-il poursuivi.
Il convient de rappeler qu’après le Président de la République, le Président de l’Assemblée nationale, le Premier-Ministre et les autres personnalités passeront suivant l’ordre protocolaire pour signer ce livre de condoléance.
Monseigneur Edouard Mathos est décédé le 28 avril dernier à l'âge de 69 ans. Ordonné prêtre le 19 juin 1977, et nommé évêque le 19 août 1987, il exerce comme évêque auxiliaire de Bangui au côté de Monseigneur Joachim Ndayen avant d'être nommé évêque de Bambari le 6 novembre 2004.
Il a souligné que le regretté était un homme épris de paix qui a beaucoup prêché la paix, la cohésion sociale, le vivre ensemble et la solidarité, en dépit de son fragile état de santé.
Selon lui, la perte du prélat n’a pas seulement affecté la population de Bambari à qui il a autorisé l’accès des paroisses aux personnes déplacées internes, mais aussi ceux qui l’ont côtoyé.
De son coté, le Cardinal Dieudonné Nzapalaïnga a noté qu’au moment où l’église catholique est en deuil, le premier responsable de ce pays est venu les réconforter et leur témoigner sa sympathie et sa proximité.
"La mort est un passage obligé pour permettre aux humains de quitter ce monde pour l’au-delà et que la mort des autres devrait nous aider à réfléchir sur notre propre mort", a-t-il poursuivi.
Il convient de rappeler qu’après le Président de la République, le Président de l’Assemblée nationale, le Premier-Ministre et les autres personnalités passeront suivant l’ordre protocolaire pour signer ce livre de condoléance.
Monseigneur Edouard Mathos est décédé le 28 avril dernier à l'âge de 69 ans. Ordonné prêtre le 19 juin 1977, et nommé évêque le 19 août 1987, il exerce comme évêque auxiliaire de Bangui au côté de Monseigneur Joachim Ndayen avant d'être nommé évêque de Bambari le 6 novembre 2004.