
Le Roi Mohamed VI conduisant personnellement la délégation marocaine au sommet de l'Union Africaine à Addis-Abeba
A compter du mois de juillet dernier, a indiqué cette source, « le Maroc avait ouvertement manifesté un intérêt pour sa réintégration au sein de l’Union Africaine et que Addis-Abeba a achevé l’oeuvre diplomatique du royaume du Maroc, surtout avec la présence effective du Roi Mohammed VI au sommet de l’UA à Addis-Abeba, en Ethiopie, lundi 30 janvier 2017 ».
Elle a indiqué que ce retour n’avait pas rencontréé l’agrément de tous. Quelques pays, 15 sur 54, n’auraient pas caché leurs tergiversations. Histoire de poursuivre les pourparlers « en famille ».
Il faut rappeler que le Maroc avait suspendu ses rapports avec l’Union Africaine en 1984 car l’organisation panafricaine avait admis la République Arabe Sahraouie Démocratique (RASD) autoproclamée depuis 1976 par le Front Polisario dans le Sahara occidental. A ce jour, cette question demeure officiellement sans réponse.
Il revient au nouveau président de la Commission de l'Union Africaine, le Tchadien Moussa Faki Mahamat, élu lors du sommet de janvier dernier, pour succéder à la Sud-africaine, Nkosazana Dlamini-Zuma, de trouver la voie qui mène à une solution.
Elle a indiqué que ce retour n’avait pas rencontréé l’agrément de tous. Quelques pays, 15 sur 54, n’auraient pas caché leurs tergiversations. Histoire de poursuivre les pourparlers « en famille ».
Il faut rappeler que le Maroc avait suspendu ses rapports avec l’Union Africaine en 1984 car l’organisation panafricaine avait admis la République Arabe Sahraouie Démocratique (RASD) autoproclamée depuis 1976 par le Front Polisario dans le Sahara occidental. A ce jour, cette question demeure officiellement sans réponse.
Il revient au nouveau président de la Commission de l'Union Africaine, le Tchadien Moussa Faki Mahamat, élu lors du sommet de janvier dernier, pour succéder à la Sud-africaine, Nkosazana Dlamini-Zuma, de trouver la voie qui mène à une solution.